Twilight Eternity
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 Isabella Marie Swan Cullen

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Isabella Cullen
Admin ~ Vampire végétarien
Isabella Cullen


Double compte : Carlisle Cullen
Féminin Nombre de messages : 445
Age : 35
Localisation : Avec Edward et Renesmée, non loin du reste de ma famille.
Race : Vampire de la famille Cullen
Régime alimentaire : Végétarien. J'ai une préférence pour les pumas.
Date d'inscription : 21/01/2009

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MessageSujet: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyJeu 29 Jan - 23:37

Fiche d'identité

Noms : Cullen, née Swan
Prénoms : Isabella Marie
Date de naissance : 13 septembre 1987

Le côté vampire de la chose

Date de renaissance : 13 septembre 2005
Âge actuel : 19 ans
Par qui avez-vous été mordu : Edward Cullen

Talent particulier (20 lignes) :

Lorsque ma renaissance a eu lieu, nous nous sommes posés quelques questions quant à mon don. Normalement, lorsque nous accédons à l'immortalité, nous emportons avec nous notre principale caractéristique. Celle-ci est alors sublimée. Une fois vampire, la bizarrerie de mon cerveau est restée. Mon esprit est toujours imperméable au don d'Edward. Pourtant Renesmée peut m'atteindre. Nous nous sommes alors demandé si mon don n'était pas de pouvoir sauter l'étape de nouveau-né. Parce qu'il faut avouer que je n'ai pas vraiment connu ce moment-là de la vie d'un vampire. Nous ignorons si c'est parce que j'avais eu le temps de me préparer ou si cela dépendait d'autre chose. Eleazar nous ôta nos doutes. Pour lui, je suis ce que les Volturi appellent un bouclier. Ce qui me permet d'échapper aux pouvoirs d'Edward, Jane et Aro n'est autre qu'un bouclier. Le fait que Renesmée puisse m'atteindre reste néanmoins une nouvelle étrangeté. Edward suppose que c'est par ce qu'elle est ma fille. Enfin passons. J'étais au départ déçue de n'être qu'un bouclier. Jusqu'au moment où Eleazar me souffle l'idée que je pourrais étendre ma protection à d'autres.
À force de tirer sur l'élastique invisible, et surtout à cause de la tendance suicidaire de Kate, je suis arrivée à projeter mon pouvoir sur quelques mètres. Apparemment, l'adrénaline et la peur me font dépasser mes limites. En tout cas, les quelques mètres se multiplièrent lorsque je dus protéger mes amis et ma famille des Volturi. Finalement, il est convenable mon pouvoir. Lorsque j'englobe une personne, elle se met à scintiller telle une étoile. Ceux qui restent hors de mon champ d'action ont une teinte écarlate assez désagréable. Si ces personnages tentent de s'attaquer à l'esprit de mes protégés, il ne se passe rien. Cependant, s'ils venaient à se trouver à l'intérieur du bouclier, leurs pouvoirs auraient de nouveau de l'effet.
Il est une dernière particularité à mon don. Je peux étendre mon bouclier aux autres mais aussi l'empêcher de me défendre. C'est ainsi que j'ai pu faire lire mes pensées à Edward. À force d'entraînement, je devrais réussir à le faire de plus en plus naturellement. Comme le reste. Avec le temps, la puissance de mon bouclier devrait s'accroître. Il me sera alors de plus en plus facile de protéger les mains. C'est sur moi que repose la défense de ma famille à présent. Finalement, l'anormalité de mon cerveau d'humaine a du bon ! C'est Edward le plus heureux je crois de savoir que mon bouclier peut être expédier de mon esprit. Grâce à cela, il peut partager mes pensées.


Régime Alimentaire et cause de ce régime (20 lignes) :

La seule évocation de mon nom aurait du vous mettre sur la voie. Cullen. J'appartiens à la famille Cullen. J'ai donc adopté leur style de vie. Les Cullen, dont le chef spirituel n'est autre que Carlisle, préfère le sang animal au sang humain. Non pas que celui-ci ait meilleure goût. C'est même le contraire. Ils essaient de se réconcilier avec une nature qu'ils détestent. En protégeant les vies humaines du danger qu'ils devraient représenter, ils sont moins monstrueux. À mes yeux, les Cullen ne sont pas des monstres. Loin de là. Ils sont ma famille. Je pense que ce fait a grandement influencé mon choix. Cependant, il n'est pas le seul à avoir pesé dans la balance.
Le second élément n'est autre qu'Edward. Il peut être rattaché au premier, certes. Mais il est celui qui a le plus poussé mon choix. Lui pense qu'un vampire n'a pas d'âme alors que Carlisle estime le contraire. Malgré son air catégorique, mon époux n'a aucune certitude sur ce qui nous arrive lorsque nous disparaissons de la surface de la terre. Si je n'ai aucun avis sur la question, je me dois de soutenir Edward. Selon Carlisle, nous aurions une âme que nous pouvons sauver. Cependant, ce sauvetage passe par un certain amour pour le genre humain. En tuant des humains, nous nous damnerions. Edward a tellement voulu protéger mon âme que je lui dois bien cela !
Il y a d'autres raisons qui m'ont poussée à opter pour le régime végétarien. Parmi elles, Renesmée. Ma fille. Elle n'a pas besoin d'une mère monstrueuse qui ne résistera pas à l'appel du sang de Charlie ! D'ailleurs, en optant pour le régime des Cullen, je permets à mon père de rester en contact avec moi. Ainsi, il peut venir sans que je ne lui saute à la gorge. Et il peut voir grandir sa petite fille. Très vite, certes, mais il peut la voir. Je fais toujours partie de sa vie. Ainsi que de celle de Renée par extension. Je peux me mêler à la foule. Je n'ai pas besoin de me cacher, hormis les jours de soleil et je peux suivre les Cullen dans leur mascarade humaine.
Il y a aussi Jacob... Il ne me pardonnerait pas si je me mettais à assassiner des êtres humains. Il me semble que je l'ai assez blessé comme cela. Il me semble avoir exposé les raisons essentielles de mon choix. Seule une manque à l'appel. Celle-ci est un peu particulière. J'ai eu l'occasion de rencontrer des nouveaux-nés. Je les ai trouvé monstrueux. Entre les pupilles pourpres et le regard fou, j'avoue que j'ai eu peur. Le fait que je sois un nouveau-né peu ordinaire me rassure. La couleur des prunelles des vampires normaux me répugne. Tout comme leur comportement. De plus, si les Cullen n'étaient pas végétariens, ils ne pourraient pas cohabiter ni former cette famille que j'aime tant.
En résumé, le régime végétarien apporte plus d'avantages que d'inconvénients. Pour moi du moins.


Êtes-vous nomade ou faîtes vous partie d'un clan ou d'une famille ? : J'appartiens à la famille Cullen

Vous

Votre physique (minimum 10 lignes) :

Etant humaine, je me trouvais d'une banalité à pleurer, cela malgré les multiples affirmations d'Edward sur ma beauté. Peut-être que le fait de côtoyer des créatures aussi belles et parfaites que les Cullen altérait-il ma vision des choses... Cela étant, je me trouvait des plus banales. À Phœnix, je paraissais déplacée avec ma peau laiteuse qui n'absorbait pas le moindre rayon de soleil. Mes yeux étaient couleur chocolat et mes cheveux bruns, longs et raides. Mes lèvres étaient un peu disproportionnées. Je mesurais un mètre soixante-trois pour cinquante-cinq kilos. J'étais donc relativement mince. Mais pas musclée. Sur mon poignet figure une cicatrice en forme de lune laissée par la morsure de James.
J'avais eu du mal à m'imaginer en vampire, lorsque ma beauté serait sublimée. Peut-être est-ce du au fait que je me trouvait d'un commun ennuyeux. Ce fut Alice qui me permit de me voir pour la première fois dans un miroir, une fois que l'immortalité m'eut été offerte. J'ai été agréablement surprise par cette vision. Ma transformation m'a rendue très belle. J'étais enfin l'égale d'Alice et d'Esmée sur ce plan-là. Je m'observais quelques temps dans le miroir. Même immobile, il se dégageait de mon corps une sorte de fluidité très agréable à regarder. Ma peau était devenue aussi pâle que celle des Cullen. Mon visage était impeccable, mes cheveux bien plus beaux. À mes yeux, le reflet dans le miroir était celui d'une étrangère. Rien du moi humain ne subsistait. Je recherchais quelques détails imparfaits afin de me rassurer. Je trouvais un léger déséquilibre dans mes lèvres plus pleines qu'auparavant. Cela suffit à me rassurer.
Mes yeux cependant étaient tout bonnement effrayants. Ils scintillaient comme des flammes attisées par le vent. Selon Edward, la couleur se rapprocherait de l'or d'ici quelques mois, le temps pour le sang animal d'en diluer le pourpre. Je remarquais plus tard qu'à l'instar de celles de jasper, la cicatrice de la morsure de James était toujours visible.
Aujourd'hui, mes prunelles ont enfin pris la teinte dorée que j'affectionnais tant, me rendant moins monstrueuse et me permettant de me mêler à la foule des humains sans porter ces désagréables lentilles de contact colorées.


Votre caractère (minimum 10 lignes) :

J'ai emporté beaucoup de mes traits humains dans l'immortalité. Il sera dur de tous les nommer. Pour commencer, je suis quelqu'un de compréhensif, capable de faire passer les désirs des gens que j'aime avant les miens. Le parfait exemple constitue le nombre de choses que j'ai permis à Alice de faire pour ne pas la blesser, comme organiser mon mariage avec Edward. Sinon, on peut aussi prendre pour exemple le pardon que j'ai accordé à Jacob de s'être imprégné de ma fille... Quoique je ne sois pas aussi sereine que je ne le laisse penser. Je suis une femme attentionnée avec tout le monde. Je me suis occupée d'empêcher Renée de faire des trucs ridicules, puis Charlie de mourir de faim, Jacob de mourir de fatigue. Mais les personnages qui profitent le plus de mon attention sont Edward et Renesmée. Le premier parce qu'il est mon époux, le seul sans qui je ne pourrais vivre, et la seconde parce qu'elle est notre enfant, fruit de notre amour.
Selon Emett, mon sens de l'humour laisse à désirer. Après, je ne suis pas sûre qu'il soit un bon juge. Il est certes un sacré farceur, mais ses blagues sont souvent lourdes. Ma caractéristique première étant humaine n'a heureusement pas survécu à ma transformation. Il s'agit de ma maladive maladresse. Une plaque de verglas ? Parfait pour glisser. Une racine qui dépasse de quelques millimètres du sol ? Parfait pour tomber. Un terrain plat ? Le lieu de prédilection de mes chutes. Depuis que je ne suis plus humaine, je ne souffre plus de cette malédiction. Pourtant, il semblerait que j'attire toujours autant les dangers. La différence entre maintenant et avant, c'est que je peux aujourd'hui me défendre toute seule.
Ce que je déteste par dessus tout, ce sont les cadeaux. Étrange me direz-vous puisque la plupart des gens adorent cela. Mais je n'y peux rien. Espérons que cette manie finira par disparaître ! C'est en tout cas en bonne voie vu la réaction provoquée par le cadeau de ma nouvelle famille. Autre chose : je déteste les vêtements élégants et étroits. Je ne m'y sens pas à mon aise. Pourtant, Alice a rempli mon dressing de ce genre de tenues... Il va falloir que j'arrange cela. Bien que pouvant à présent courir sur des talons aiguilles sans pour autant tomber trois pas plus loin, je n'aime toujours pas ça.
Je suis somme toute un vampire hors norme. J'ai fait montre d'un self-contrôle digne d'un vampire expérimenté dès ma première chasse en parvenant à m'éloigner de l'odeur de sang humain qui m'appelait, comme le chant des sirènes.
Dernier détail, mais pas des moindres, je suis toujours incapable de mentir. Il va falloir arranger cela dans les mois à venir. Pour finir, la chose que j'apprécie plus que tout au monde, c'est la consommation de mon mariage.


La personne représentée sur votre avatar : Kristen Stewart

Derrière l'écran

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Ce qui vous déplaît : Rien.
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Dernière édition par Isabella Cullen le Ven 13 Fév - 15:49, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptySam 7 Fév - 22:54

Mon Histoire


Fascination


Une rencontre singulière


L'idée de quitter le soleil de Phœnix pour la pluie de Forks ne m'enchantait pas lorsque je décidai d'aller vivre avec mon père, Charlie. Mais il le fallait. Ma mère, Renée, s'était remariée à un joueur de base-ball. Phil voyageait beaucoup pendant que Renée restait avec moi. Mais cela la rendait malheureuse. C'est pour cette raison que j'allai quitter le soleil chaud pour les nuages froids. Renée pourrait accompagner Phil et Charlie serait heureux de m'avoir avec lui. Renée et lui avaient divorcés très vite, s'étant selon eux mariés trop tôt. Renée m'avait alors emportée loin de cette pluie qu'elle détestait tant. Alors, jusqu'à mes quatorze ans, je passais un mois avec Charlie tous les étés. Lorsque je fus en âge de me révolter, j'exigeai de passer mes vacances avec Charlie dans un endroit ensoleillé. Washington devint la Californie et le mois devint deux semaines. Je ne connaissais que peu Charlie. Lui se faisait un plaisir de m'accueillir chez lui alors que c'était la mort dans l'âme que je déménageais. Je n'avais que peu de bagages d'ailleurs, dans la mesure où le climat de Phœnix était du genre aride et celui de Forks beaucoup plus continental.
Cependant, mon arrivée à Forks ne fut pas aussi terrible que ce à quoi je m'étais attendue. L'avantage avec Charlie, c'était qu'il ne s'éternisait jamais. Je tenais de lui pour cela. Pour fêter mon arrivée, il m'offrit une camionnette à plateau assez vieille mais dont je tombais immédiatement amoureuse. Il l'avait acheté aux Black. Certes elle n'était pas de première jeunesse. Mais elle était de celles qui résistent à un accident sans la moindre rayure alors que le véhicule d'en face ressemblait à une boîte de conserve. Exactement ce qu'il me fallait. Ma première journée au lycée de Forks, accueillant tous les élèves de la ville, fut aussi plus aisée que ne me l'avait fait craindre mes appréhensions. Je fus le centre de l'attention, ce qui ne m'étonna pas vu le nombre d'élèves de cet établissement et la fonction de mon père, chef de la police. Mike Newton m'accompagna à tous mes cours ce jour-là, si bien que je n'eus aucun besoin de sortir mon plan de mon sac. Cela eut le mérite d'adoucir mon amertume puisque le ciel s'acharnait à être gris.
Mais ce ne fut pas cette compagnie qui donna de l'intérêt à Forks. Le premier repas à la cafétéria du lycée donna un éclat différent à la journée. En effet, ce fut ce jour-là que je rencontrais Edward Cullen. Il était assis à une table avec sa famille. Sa beauté me frappa immédiatement. Sa peau était plus blanche que le marbre. Sous ses yeux se dessinaient des cernes sombres. Ses boucles cuivrées semblaient en accord parfait avec cette perfection. Il était magnifique. Cependant, le premier regard qu'il me lança me glaça le sang tant il était froid. Je revis Edward Cullen l'heure suivante. Tous deux partagions la même paillasse en cours de biologie avancée. Alors que je ne pouvais cesser d'admirer sa perfection, lui s'éloignait le plus possible de moi, me jetant des regards assassins et bouchant son nez. Je me sentais insultée.
Je rentrais chez moi absolument furieuse. Après de nombreuses heures passées à tergiverser, je décidai qu'il fallait que je me confronte à lui. Si quelque chose n'allait pas avec moi, je tenais à le savoir. Il ne me semblait pourtant pas avoir fait quelque chose de mal ! Cependant, Edward Cullen ne vint pas au lycée la semaine suivante. Lorsque je commençais à penser qu'il ne viendrait plus, il était là, assis à sa place en cours de biologie. Il avait retrouvé un visage calme et ma fureur retomba aussitôt que mes yeux se posèrent de nouveau sur son visage parfait. Lorsque je m'assis, il me salua. J'étais stupéfaite. Comment cet être qui avait semblé me détester une semaine auparavant pouvait-il être à présent d'une politesse si exquise ? Il se présenta alors. Ce fut pendant l'observation de cellule d'oignons que nous fîmes connaissance. Nous nous passâmes tour à tour le microscope, observant les différentes phases de la mitose. Sa main frôla la mienne l'espace d'un instant. Elle était tellement froide que son contact m'électrifia. Il s'excusa sans pour autant se départir de son calme. Lorsque nous eûmes fini notre travail, Edward me fit parler des raisons de mon arrivée à Forks. J'en vins à lui expliquer que cela rendait ma mère heureuse. Et il devina que je n'étais pas heureuse à présent. Me fixant, il finit par me demander si je l'agaçai. Je ne pus lui mentir et avouais que ce qui m'agaçait, c'était ma transparence. Lui par contre me trouvait très difficile à déchiffrer.
Le lendemain matin se produisit un événement auquel je n'aurai pas du survivre. La route était gelée en bien des endroits ce jour-là. Je me tenais près de ma Chevrolet. Edward m'observait, de l'autre côté du parking. C'est alors que des coups de klaxons furieux retentirent. La voiture de Tyler Crowley fonça sur moi avant même que je n'aie eu le temps de comprendre quoi que ce soit. Mais au moment où je l'entendis heurter l'arrière de ma voiture, un choc me projeta violemment au sol. Ma tête heurta brutalement le bitume. Alors que la voiture se précipitait violemment vers moi, quelqu'un me bougea rapidement, soulevant le véhicule fou afin qu'il n'écrase pas mes jambes. Edward. Ce fut la première fois qu'il sauva ma vie. Ou la seconde selon lui. Alors, je voulus immédiatement savoir comment il avait fait pour empêcher le camion de m'écraser comme une vulgaire poupée de chiffon. Je lui fis jurer de m'expliquer. Nous fûmes alors emmenés à l'hôpital, moi sur une civière, lui sur ses pieds. Je rencontrai pour la première fois le docteur Carlisle Cullen. Lorsque j'obtins l'autorisation de sortir, je suivis Edward dans un couloir afin d'obtenir des explications. « Personne ne te croira, me dit-il. »
« Je n'ai pas l'intention de le crier sur les toits, rétorquai-je, furibonde. »
Ensuite, nous partîmes chacun de notre côté. Cette nuit-là, je rêvai pour la première fois d'Edward Cullen.

Super-héros ou méchant, des histoires effrayantes.


Lorsqu'Edward m'adressa de nouveau la parole, ce fut tout d'abord pour s'excuser. Si au départ je fus soulagée, je redevins rapidement agacée lorsqu'il prétendit qu'il valait mieux qu'on ne soit pas amis. Il regrettait de m'avoir sauvée, j'en étais certaine. Et je ne lui cachais pas mes pensées. Cela le rendit furieux et nous nous séparâmes sans sympathie. Ce fut ce jour-là que Mike, Éric et Tyler choisirent pour me demander d'aller au bal avec eux. Même s'ils avaient été d'autres personnes, j'aurai refusé. Je prétendis donc me rendre à Seattle le jour du bal. Le lendemain, lorsque Edward s'adressa de nouveau à moi, je restais sur la défensive. Au final, son regard sublime eut raison de moi et j'acceptai qu'il m'accompagnât à destination. Visiblement, il jugeait notre amitié dangereuse mais la souhaitait. Allez savoir pourquoi, mais c'était aussi mon cas. Par la suite, il m'invita à m'asseoir à table avec lui. Et il me questionna sur mes théories. Je fus particulièrement embarrassée de lui confier que j'avais songé à des araignées radioactives et à des chauve-souris humaines ! En tout cas, mes élucubrations parurent l'amuser. Pourtant, il prétendit être le méchant, et non le super-héros. À mes yeux, une créature aussi fascinante qu'Edward Cullen ne pouvait pas être mauvaise. Cet après-midi, il n'alla pas en cours de biologie. Et j'aurai mieux fait de l'imiter car était prévu un test sanguin. Inutile de préciser que j'étais particulièrement sensible à cette substance. Je finis donc allonger sur le sol de l'allée conduisant à l'infirmerie, accompagnée par Mike Newton. Ce fut pourtant Edward qui rejoignit en chemin qui finit par me porter jusqu'à l'endroit voulu. Il alla même jusqu'à me ramener chez moi. Dans sa Volvo. Si je n'avais pu lui poser quelques questions, j'aurais détesté cette promenade.
Le weekend suivant, je devais me rendre à La Push, la plage de la réserve indienne. Edward m'avait fait promettre de ne pas tomber dans l'eau. Plus facile à dire qu'à faire ! Je rencontrais là-bas Jacob Black, un ami d'enfance de deux ans mon cadet. Lorsque mon invitation refusée d'Edward arriva sur le tapis, un jeune indien qui accompagnait Jacob annonça avec un sérieux non feint que les Cullen ne venaient pas à la Push. Poussée par la curiosité, je fis du gringue à Jacob afin d'obtenir plus d'informations. Il me raconta alors les histoires de son peuple, descendant des loups. J'appris ce jour-là que les Cullen étaient censés être des 'sangs-froid' et qu'un pacte leur permettait de cohabiter avec les Quileute. Cela attisa ma curiosité. De retour chez moi, je me lançai dans quelques recherches concernant les histoires de Jacob. Les premiers doutes me vinrent. Edward était-il un vampire ? Instinctivement, je me trouvais stupide de penser une chose pareille. Cependant, les signes étaient là !
Heureusement, Jessica, Angela et Lauren, seule cette dernière me faisait grimacer, trouvèrent comment me distraire en me proposant de les accompagner à Port Angeles afin d'y choisir leurs robes. J'acceptai. Lauren trouva alors une excuse pour ne pas venir. C'était tant mieux. Je restai avec les filles le temps qu'il fallut pour qu'elle ait leurs tenues. Ensuite, nous nous séparâmes. Je souhaitais voir la librairie. Évidemment, je fus déçue. Je décidai alors de me lancer à la recherche d'une autre librairie. Il devait forcément y en avoir une autre qui soit potable ! La nuit ne tarda pas à tomber alors que je m'enfonçai de plus en plus dans des quartiers peu accueillants de Port Angeles. Alors les ennuis commencèrent. Deux garçons, bien plus forts que moi, me suivaient. J'accélérai le pas, espérant tomber au coin de chaque rue sur un rassemblement de personnes capables de me sauver. Malheureusement, je fus de plus en plus seule. Soudain, je fus forcée de m'arrêter. Deux autres garçons m'attendaient au bout de la rue. J'étais cernée. Incapable d'émettre le moindre cri, je me cramponnai à mon sac, tentant de rassembler les quelques notions de self-défense que je possédais. Malgré tout, je savais que je ne m'en sortirai pas indemne. Ce fut au moment où les choses commencèrent à se corser qu'une voiture aux teintes argentées fonça vers mes agresseurs. Un ténor délicieux que j'aurai reconnu entre mille m'intima l'ordre de monter. J'obéis sans rechigner, trop heureuse d'avoir trouver un échappatoire. Alors nous nous éloignâmes à une vitesse ahurissante. Il était furieux. Lorsqu'il parvint à se calmer, il me demanda si je n'avais rien. J'étais indemne. Il fit alors une requête surprenante. Il voulait que je le distraie. Je préméditais alors le meurtre de Tyler. Depuis qu'il avait failli me tuer, ce dernier ne cessait de me suivre partout comme un toutou, se fondant en excuses. S'il avait pu remplacer mon ombre, je suis sûre qu'il l'aurait fait ! J'expliquai à Edward que mon envie de meurtre tenait au fait que Tyler se vantait d'aller au bal avec moi. Agaçant ! Nous finîmes par retrouver Jessica et Angela. Elles étaient mortes d'inquiétude. Je les rassurai brièvement. Alors Edward arriva et demanda à se joindre à nous. Finalement, nous allâmes dîner tous les deux. Comme j'avais oublié ma veste dans la voiture de Jessica, Edward me prêta la sienne. Son odeur m'enivra. Avant que je n'aie eu le temps de perdre la tête, Edward me questionna sur mes nouvelles théories. Bien sûr, je posai des conditions. S'il répondait à mes questions, je lui dirai dans la voiture ce que j'avais découvert. Il accepta. J'appris lors qu'il m'avait suivie à Port Angeles et que de plus il lisait dans les pensées. Sauf dans les miennes. Cela ne fit que confirmer l'idée que je n'étais pas normale.


Dernière édition par Isabella Cullen le Jeu 12 Fév - 1:10, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptySam 7 Fév - 22:59

Mythes et réalité


Lorsque nous montâmes dans sa voiture, j'étais toujours stupéfaite. Après tout, lire dans les pensées n'est pas une activité courante chez le commun des mortels ! Enfin passons. Je fus forcée de lui faire part de ma théorie en expliquant d'où m'était venue l'idée. Un vampire... Pourtant, je lui avouai sans hésiter que ce qu'il pouvait être n'avait aucune importance. À ces mots, il devint furieux. Il trouvait mon attitude désinvolte. Alors il était réellement un vampire. Ce mot me fit grimacer. Je profitai alors de l'occasion pour poser des questions sur les vampires. Cela l'amusa d'ailleurs. Il m'apprit donc que le soleil ne réduisait pas les vampires en cendres et qu'il ne dormait pas. Je fus néanmoins rassurée lorsqu'il me confirma que lui et sa famille se nourrissait de sang animal animal, bien qu'Edward ait tenté de me faire peur en prétendant rester une menace. Lorsque nous arrivâmes devant chez Charlie, il me jura d'être au lycée le lendemain. Il fit même mieux que cela. Il m'attendait devant chez moi pour m'accompagner. Ses frères et sœurs avaient opté pour la décapotable rouge de Rosalie. Lorsque nous arrivâmes au lycée tous deux, ensemble, les regards se posèrent sur nous sans discrétion. Jessica me rapporta ma veste. Nous parlerions en maths. Ainsi, je sortais avec Edward Cullen. Par ailleurs, notre première sortie en tant que 'couple' fut programmé pour le weekend suivant. Au lieu d'aller à Seattle, nous irions nous promener. Il voulait me montrer pourquoi il ne pouvait pas se montrer au soleil. Il proposa même, puisque j'étais fâchée qu'il m'ait espionné en cours de sport, de me laisser conduire.
Lorsque le jour J arriva enfin, je découvris enfin le lieu de notre promenade. Nous n'empruntâmes pas un sentier prédéfini. Edward sembla s'adapter à ma vitesse de marche, très lente, il fallait bien l'avouer. Nous marchâmes longtemps. Alors apparut une trouée dans la forêt. Elle recevait directement les rayons du soleil. Réticent, Edward exposa sa peau à la lumière brute. Je fus émerveillée. On aurait dit que des milliers de diamants scintillaient sur sa peau d'albâtre. Il tenta alors de m'effrayer. Il n'en fut rien. J'étais impressionnée, certes. Mais la seule peur qui me tiraillait n'avait rien à voir avoir son attitude ou sa nature. J'avais seulement peur qu'il disparaisse. Il m'avoua désirer mon sang plus que tout autre en cette terre. Il paraît que j'avais une odeur de lavande et de freesia. Étrange. Cela ne m'effraya pourtant pas. J'étais sûre qu'il ne me ferait jamais de mal. Au fil de la conversation, je voulus l'embrasser. Il s'éloigna aussitôt, me blessant sans le vouloir. Cependant, il se rattrapa un peu plus tard. Il apposa sa tête contre ma poitrine, écoutant mon cœur battre. Je fis pareil. Cependant, je n'entendis rien d'autre que sa respiration. Ce fut un moment magique. Le retour fut nettement moins amusant. En effet, Edward tint à me montrer sa manière de se déplacer. Il me mit sur ses épaules et se mit à courir. Les yeux écarquillés, je vis le paysage défiler à toute vitesse. Lorsque nous arrivâmes près de ma Chevrolet, je me sentais tellement mal que j'eus besoin de son aide pour m'aider à descendre de son dos. Lorsque j'eus quelques minutes pour me ressaisir, il prit ma tête entre ses mains avant de poser ses lèvres froides et délicieuses sur les miennes. Surprise, j'oubliais qu'il n'était pas aussi fort qu'il voudrait l'être. Il interrompit notre baiser. Je m'excusai. Il ne semblait pourtant pas contrarié. Il était même fier de lui.
Peu de temps après, je fus invitée chez les Cullen. Edward s'esclaffa lorsque je lui fit part de mon angoisse à l'idée de ne pas plaire à sa famille. Pour lui, j'aurai plutôt du m'inquiéter de passer une journée dans une maison remplie de créatures assoiffées de sang. La demeure était magnifique. Ouverte sur l'extérieur, elle était l'endroit le plus lumineux qui soit. Carlisle et Esmée m'accueillirent prudemment, probablement pour ne pas m'inquiéter. Alice quant à elle se jeta littéralement sur moi, annonçant que je sentais bon. Jasper se contenta de me parler. Il garda ses distances. La visite commença par le piano du salon. Sur demande de sa mère, Edward joua pour moi. La famille Cullen m'aimait bien visiblement. Excepté Rosalie. Elle était apparemment jalouse. Je ne voyais pas pourquoi. La fin de la journée fut marquée par une invitation à assister à une partie de base-ball le soir-même.

Là où tout a commencé


Après avoir présenté Edward à mon père comme mon petit ami, je me rendis au stade de base-ball dans une jeep démesurée. Elle appartenait à Emett. Le terrain me parut disproportionné. Il faisait deux fois la taille d'un terrain normal ! Cependant, je compris pourquoi l'orage était nécessaire pour que les Cullen puisse jouer. Lorsque la batte heurtait la balle, un grondement sourd se faisait entendre. Ce fracas retentissait aussi lorsque les corps durs comme de la pierre des Cullen s'entrechoquaient en pleine course. J'avais du mal à suivre avec mes pauvres yeux d'humaine. C'était un spectacle assez impressionnant. Mais au milieu de la partie, Alice arrêta tout le monde. Alors commencèrent les ennuis pour moi. Un groupe de nomades se dirigeait vers nous, ayant entendu qu'une partie se jouait ici. Si de prime abord la rencontre se passa bien, une légère brise vint tout gâcher. James, le traqueur du groupe, avait senti mon odeur. Avant qu'il ne puisse se jeter sur moi, les Cullen se placèrent devant moi. Poussés par Laurent, les nomades quittèrent la plaine. Alors je me retrouvais assise dans la jeep, au côté d'Edward. Nous nous éloignions de Forks. James étant un traqueur, il allait me poursuivre jusqu'à ce qu'il ait eu ma mort. Si les plans des Cullen avaient pour seul but de me protéger, je ne pus réagir normalement. S'il suivait ma trace, il se rendrait directement chez Charlie ! Cette pensée me glaça d'effroi. S'il arrivait jusqu'à la maison, il tuerait mon père ! Soutenue par Emett et Alice, je fis part à Edward de mon plan. Il acquiesça à contre-cœur et me ramena chez Charlie. Nous savions que le traqueur nous écouterait. Alors, je devais m'en aller, le plus vite possible, sans prendre le risque que Charlie ne me suive. Ce fut l'un des moments les plus éprouvants de toute ma vie. Pour qu'il me laisse partir, je dus lui répéter ce que ma mère lui avait dit avant de s'en aller avec moi. Je prétextai haïr Forks et le priai de me laisser partir. Je lui assenai de la sorte le coup de grâce... Après cela, j'étais sûre qu'il ne me pardonnerait jamais. Mais avais-je seulement le choix ? Je montai dans ma chevrolet. Edward ne tarda pas à me rejoindre et à prendre ma place au volant. Je n'eus même pas la force de négocier pour rester au volant. J'étais bien trop bouleversée. Lorsque nous arrivâmes chez les Cullen, Laurent était là. Edward rugit mais Carlisle expliqua qu'il n'était là que pour nous prévenir de la dangerosité de James. Cela ne fit que renforcer mon angoisse. Les choses sont à présent quelque peu floues. Je me retrouvais dans la chambre d'Esmée, échangeant mes vêtements avec les siens afin de brouiller mon odeur. Nous rejoignîmes sans tarder le garage. Je partirai pour Phœnix en compagnie d'Alice et Jasper pendant que les autres protègeraient mon père et élimineraient celui qui en voulait à ma vie. J'allais être séparée d'Edward... Le baiser qu'il m'offrit avant de me laisser partir acheva de tuer mon courage. Je m'endormis sur la banquette arrière, la tête posée contre Alice.
Lorsque nous arrivâmes à Phœnix, nous louâmes une chambre dans un hôtel proche de l'aéroport. « Au cas où » disait Jasper. Lorsque j'étais près de lui, je me sentais à peine plus calme. Nous attendîmes longtemps que quelqu'un ne nous appelle pour nous donner des nouvelles. Et s'il leur était arrivé quelque chose ? Comment vivrai-je ainsi ? Le temps passa et Alice eut une vision. Elle vit la salle de danse dans laquelle j'avais pris quelques cours étant plus petite. L'attente était interminable. Nous savions seulement qu'il viendrait ici, à Phœnix. Edward nous rejoindrait le lendemain, par le premier avion, et m'éloignerait. C'était du moins ce qui était prévu. Je reçus un coup de téléphone de ma mère. Ce fut ce que je croyais. En réalité, James était à l'autre bout du fil. Il tenait ma mère. Il me fallait alors m'échapper de la surveillance d'Alice et de Jasper si je voulais la sauver. Je parvins à m'en aller par je ne sais trop quel miracle. C'est ainsi que je me retrouvais dans la salle qu'Alice avait vu. Loin d'Edward, proche de la mort. Pourtant, je ne regrettais pas ce qui m'avait amenée ici. Si je n'avais pas emménagé à Forks, jamais je n'aurais rencontré Edward. Comment aurais-je pu regretter ce qui m'avait menée à Edward ?
James m'attendait. Contrairement à ce qu'il avait pu me faire croire, il ne détenait pas ma mère. Étrangement, je fus soulagée. Elle n'avait jamais été mêlée à cela. J'avais grandement facilité la tâche à mon assassin, mais au moins, personne ne mourrait pour moi. James avait cependant l'intention de pousser Edward à me venger. Il avait décidé de faire une vidéo de ma mort. Il me parla, comme pour introduire les choses. Il ne comprenait pas cet amour que pouvait nourrir les vampires à l'égard de simples humains. Aucune de ses proies ne lui avait échappé. Hormis une. Alice. Au moins, elle saurait ce qui lui était arrivé dans sa vie humaine. Quand je serai morte. Alors commença la torture. Je tentai de m'échapper, essai ridicule d'ailleurs. Je n'avais aucune chance contre une créature telle que James. Alors, il m'envoya valdinguer dans les airs. Ma tête heurta un miroir, causant une douleur lancinante en moi. Puis il écrasa mon tibia de sa main, m'ordonnant de dire à la caméra, et à Edward, à quel point je souffrais et qu'il faudrait me venger. Je m'y refusais malgré la douleur. J'ignore s'il répondit à l'appel du sang ou s'il était agacé par mon comportement mais il me mordit le poignet. C'est à ce moment-là qu'Edward surgit de nulle part. Je ne pus suivre le combat tant je souffrais. Mon poignet me brûlait. La douleur était terrible. J'eus la sensation qu'un brasier s'était déclenché en moi. Lorsque Carlisle se précipita vers moi, je lui en fis part. Edward fut bouleversé de voir que j'étais en train de me métamorphoser en vampire. Afin d'éviter cela, il fit ce que peu de vampire pourrait faire. Il aspira le venin de James. Sans pour autant me tuer...

Une requête


Je me réveillais à l'hôpital, complètement perdue. Edward était là. Renée et Charlie aussi. L'excuse donnée à ceux qui ne partageaient pas le secret était qu'Edward et Carlisle étaient venus me chercher à Phœnix afin de me convaincre de retourner à Forks. En me rendant à leur hôtel, j'avais chuté dans les escaliers sur deux étages avant de passer par une fenêtre. La moindre respiration me faisait souffrir. Et ce fut pire lorsqu'Edward s'accusa de tout ce qui m'était arrivé. Pour moi, il n'était pas le coupable. Juste le sauveur. Mon sauveur. Il osa parler de me quitter. Alors mon cœur eut des ratés. Je voulus lui faire promettre de ne jamais me quitter. Il me promit de rester tant que je voudrais de lui. Cela suffit à me calmer.
Lorsque je pus sortir de l'hôpital et que je ne fus plus affublée que d'un seul plâtre, je retournai à Forks. Charlie me pardonna. Cependant, il ne pardonna pas à Edward. Cependant, il accepta de me laisser entre les mains d'Alice qui me considéra comme un cochon d'Inde Barbie. Je me retrouvais vêtue d'une robe bleu nuit sur un talon aiguille. J'ignorai où nous irions. J'aurais pourtant du m'en souvenir ! Alors que dans ma tête défilèrent des possibilités infinies et improbables, nous prîmes le chemin du lycée. Je m'en voulus alors d'avoir été aussi stupide ! Il était évident qu'Edward m'emmenait au bal ! J'étais évidemment furieuse mais le talon aiguille d'Alice me força à me montrer plus ou moins docile. Je finis par valser, mes pieds sur ceux d'Edward. Cependant, ma danse fut interrompue par Jacob Black. Son père l'avait payé pour qu'il me mette en garde. Cela fait, il me laissa enfin avec Edward. Nous sortîmes. Ce fut là que je parlais à Edward de mon désir de devenir comme lui. Cela ne lui plut pas. Il refusa de me transformer en une créature monstrueuse.
« Ne pourrais-tu pas te contenter de passer ta vie avec moi, me demanda-t-il ? »
« Pour l'instant... »
Aucun de nous ne rendrait les armes ce jour-là. Car Alice m'avait vue devenir vampire. C'était ce que je voulais, la seule façon pour moi de rester avec Edward pour l'éternité.
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Tentation


Un anniversaire désastreux


Le treize septembre de mes dix-huit ans fut sans aucun doute le pire de tous. Je ne voulais pas que l'on fête mon anniversaire. Il me rapprochait simplement de ma vieillesse, creusant un peu plus mes traits alors qu'Edward restait figé dans la perfection de ses dix-sept ans. Malheureusement, les Cullen tenaient absolument à marquer cette date qu'ils jugeaient particulièrement importante. Ainsi, une fête fut organisée chez eux. J'étais la seule à être humaine. Les Cullen me firent des cadeaux, que je dus ouvrir devant eux : un autoradio, un CD contenant des musiques jouées par Edward et...
Lorsque j'ouvris un des paquets, le papier me coupa le doigt. Les choses se passèrent alors très vite. En quelque secondes, je me retrouvais projetée sur une pyramide de verre. L'unique goutte de sang que le papier cadeau avait laissé couler avait assoiffé Jasper, celui qui avait le plus de mal à s'habituer au régime végétarien des Cullen. Celui-ci s'était jeté sur moi, retenu par chance par Edward. Alors que la joie régnait quelques secondes auparavant, c'était à présent la soif qui dominait l'humeur actuelle. Le bras qui m'avait empêchée de m'éclater la face sur le sol était plein de morceaux de verre. Carlisle m'emmena dans la cuisine, accompagné d'Edward. Ce dernier était bouleversé. Moi je m'efforçais de ne pas tourner de l'œil. Ce qu'Edward redoutait plus que tout venait de se produire. Sa nature m'avait mise en danger. Après cela, rien ne fut comme avant. Une distance étrange et angoissante nous séparait alors. Je comparai deux photos. La première nous représentait la veille de mon anniversaire. La seconde, le lendemain. La différence était frappante. L'or liquide des prunelles d'Edward s'était muer en un solide froid. Il n'allait pas bien. Et je n'y pouvais rien.
Un après-midi, alors qu'il me ramenait à la maison, nous nous rendîmes dans les bois. Aujourd'hui encore, la seule pensée de cette discussion m'arrache le cœur. Car ce jour-là, dans ce bois, il m'abandonna. Comme j'insistai pour ne pas qu'il s'en aille, il m'assena le coup de grâce. « Tu ne m'apportes rien de bon ». Ces quelques mots m'achevèrent. Avant de partir, il me demanda de ne rien faire de dangereux et d'irréfléchi. Pour Charlie. Puis il s'en alla. Je le suivis mais ma vitesse d'humaine ne me permit pas de le rattraper. Je errais dans les bois jusqu'à en être perdue. Mais peu m'importait. Il fallait que je continue. Et je continuais. Je tombais de plus en plus souvent à mesure que la nuit s'installait. Mais je me relevais. Jusqu'à ce que je n'eus plus la force de le faire. Je me couchait donc en chien de fusil, inconsciente de mon entourage. Au bout d'un moment, j'entendis des voix mais n'eus pas la force d'y répondre. Ce fut Sam Uley qui me trouva. Il me ramena alors chez Charlie où toute la ville presque m'attendait. Je n'avais rien. Mais il était parti... Il était parti... Je ne le reverrai plus. « Ce sera comme si je n'avais jamais existé. » Lorsque j'eus la force de me lever, j'allais voir ma chambre. Toute trace de lui avait disparue. Les photos. Mes cadeaux. Tout avait disparu. Je pleurais longtemps. Mon corps n'était plus qu'une plaie sanglante et purulente. Des cauchemars naissaient et hantaient mes nuits. Au début, Charlie se précipitait en m'entendant hurler. Il cessa de se lever passé un temps. Je ne mangeais pas. Je ne parlais pas. Je ne riais pas. Et comme je ne réagissais pas, il décida de m'envoyer chez ma mère. À ce moment-là, je devins hystérique. Je balançais tout contre les murs, refusant de partir ! Si je quittais Forks, j'avais peur d'oublier. Si je quittais Forks, je quitterais Edward. C'était inadmissible. Charlie laissa donc tomber et je décidai de me comporter le plus normalement possible. Pendant quatre mois, je fus un parfait zombie. Un enfant modèle. Mais cela ne suffit plus.

Le réveil


Un jour, Charlie en eut assez de me voir ainsi. Il me menaça de me renvoyer à Phœnix si les choses ne changeaient pas. C'était injuste. Depuis des semaines, je n'avais rien fait de répréhensible. Et c'était là tout le problème. Je lui promis alors de sortir avec mes amies. Même s'il aurait fallu que j'en aie encore. À vrai dire, elles faisaient à présent comme si je n'existais pas. Je ne pouvais pas leur en vouloir. Alors je me lançais et demandais à Jessica de venir voir un film avec moi le soir-même. Cela suffirait à ce que Charlie me laisse tranquille. Jessica accepta, plus poussée par la curiosité que par son amitié à mon égard. Je quittai la salle avant la fin du film. Les zombis me rappelaient trop celle que j'étais. Lorsque Jessica me rejoignit, nous allâmes trouver un fast-food. En chemin, nous passâmes devant un bar. À l'intérieur de celui-ci se trouvaient quatre hommes qui me rappelaient ceux qui m'avaient agressée un an plus tôt, ici-même. Je m'approchais alors d'eux. Jessica me rappela à l'ordre. Je prétendis les connaître et avançai encore. Alors, j'entendis une voix. Sa voix. Son ténor me mettait en garde. Je poursuivis, souhaitant entendre encore ces accents veloutés. Je ne fus pas déçue. Cependant, lorsque je me rendis compte que ces hommes n'étaient pas les mêmes, la voix se tut. Je rejoignis alors Jessica qui passa le reste de la soirée à bouder. Le lundi, je parlais à la cantine, défendant Angela lorsqu'elle parla des loups géants qui semaient la terreur. Charlie m'avait parlé de crimes dont on supposait que des loups étaient responsables. Mike et elle me sourirent, heureux de me retrouver. Cela satisferait Charlie. Et mes amis.
En rentrant, je m'interrogeais sur la voix. Il y avait deux solutions. Soit j'étais complètement folle, soit l'adrénaline me donnait des hallucinations. Dans les deux cas, je voulais que cela recommence. Pour ce qui était de la promesse faite, je refusais d'être la seule à respecter un contrat vidé de sa substance. C'est pour cette raison que lorsque je vis sur un portail une annonce concernant des motos à vendre « en l'état », je me précipitai. Un garçon de mon lycée m'accueillit, étonné. Il m'offrit les motos. Immédiatement, je songeais à Jacob. Lui pourrait les réparer. Et j'avais envie de le revoir. Je me dirigeais immédiatement vers La Push. Charlie ne serait pas contre. Il serait même heureux que je sois allée là-bas. Jacob fut surpris de me voir. Je lui parlais des motos et nous nous rendîmes immédiatement dans son garage. Il parut heureux de ma visite et de l'activité, illicite, que je lui proposais. Il m'offrit sa main d'œuvre gratuitement. Je paierais les dépenses pour les pièces et lui donnerais une des motos. En échange, il me donnerait des leçons de conduite. Cela aurait le mérite de nous occuper. Il me tardait que les réparations soient finies afin de tester ma théorie. À partir de cet instant, nous passâmes tout notre temps libre dans le garage. C'est ainsi que Jacob et moi devînmes très amis. Malgré tout, je restais malheureuse. Personne jamais ne pourrait remplacer Edward. Jacob était pourtant mon soleil, celui qui réchauffait mon cœur. Avec lui, le vide en moi cessait de s'étendre. Avec lui, je me sentais bien.
Lorsque mon mécanicien eut achevé les motos, nous allâmes trouver un endroit tranquille afin qu'il puisse m'apprendre à conduire. En chemin, nous aperçûmes Sam et sa bande sautant du sommet d'une falaise. Jacob ne l'appréciait absolument pas. Il semblait considérer cette bande comme une secte. Il était terrifié même. Je lui fit promettre de m'emmener et de me faire sauter du haut des falaises. Étonné, il accepta néanmoins. La première leçon de conduite fut une réussite. Pour moi du moins. J'entendis en effet sa voix. Elle m'avertit que j'allais me faire mal. Grisée, je ne ralentis pas pour autant. Je finis par m'arrêter dans un arbre, ce qui me valut un passage par les urgences. Ce jour-là, je guettais le retour de flamme. Mais rien ne vint.
Lorsque je sus mieux maîtriser ma moto, la voix se tut de nouveau. Je décidai alors de demander à Jacob de m'aider à retrouver la clairière au milieu des bois, celle d'Edward. Nous passâmes nos dimanche à cela. Sans succès.

Épidémie


Je décidai de m'offrir une sortie à Port Angeles. Je programmais cela soigneusement. Le film, d'horreur interdit aux moins de seize ans, ne risquait pas de réveiller mes angoisses. J'invitai Jacob à se joindre à moi. Je refusais cependant d'y aller seule avec lui. Il semblait nourrir à mon égard plus de sentiments que moi au sien. Je conviai donc Angela et Ben, Jessica et Mike, et même Lauren ! Au final, nous ne fûmes que trois. Jacob, Mike et moi. Voilà qui serait confortable... Une épidémie se répandait à la vitesse de l'éclair. Mike dut d'ailleurs quitter la salle avant la fin du film. Nous crûmes au départ qu'il ne supportait pas la vue du sang mais il s'avéra simplement malade. Jacob le raccompagna avant de me ramener. Lui aussi semblait malade. Enfin, il assurait se porter comme un arme mais sa peau était brûlante. Il promit de m'appeler en arrivant. Ce qu'il ne fit pas. Je l'appelai donc moi-même. Billy me répondit, m'annonçant que Jacob était malade. J'allais donc me coucher. Il avait du attraper la même chose que tout le monde. La même chose que moi d'ailleurs. Car je passai la nuit couchée sur le sol de la salle de bain, vidant régulièrement le contenu de mon estomac. Fichue grippe intestinale. Heureusement, cela ne dura pas. J'appelai mon ami dès que je me sentis mieux afin de le rassurer. Il me répondit sèchement qu'il n'avait pas la même chose que moi. Après cela, il ne me rappela pas et ne répondit pas à mes appels. Comme l'ennui commençait à prendre place dans ma vie, ce que je redoutais plus que tout, je dus me trouver une nouvelle occupation. Je partis alors à la recherche de la clairière. Seule. Contre toute attente, je la trouvais. Revoir cet endroit raviva mes blessures. Les bords de la plaie se remirent à saigner abondamment. Je haletais, comme si je n'avais plus d'oxygène. Je dus me recroqueviller sur le sol tant j'eus l'impression que mes poumons allaient exploser. Rien ne subsistait d'Edward. Cet endroit sans lui n'avait rien de particulier. Et si je n'avais fait qu'inventer tout cela ? Je n'avais aucune preuve de la réalité de son existence...
Comme pour répondre à mes interrogations, quelqu'un arriva. Laurent ! Je fus heureuse de le revoir. Cela signifiait au moins que les vampires existaient réellement. Laurent, lui, sembla surpris de me trouver ici dans la mesure où les Cullen n'y était plus. La voix d'Edward retentit dans ma tête, m'ordonnant de ne pas dire qu'il m'avait abandonné. Malgré tout, Laurent ne marcha pas. Il était ici pour Victoria. Elle voulait me tuer. Les vampires n'apprécient pas beaucoup que l'on tue leurs compagnons. Elle avait décider de me tuer pour blesser Edward. Elle ne savait pas qu'il était parti. Elle ne savait pas qu'il ne m'aimait plus... Laurent allait me tuer. Je n'avais aucune échappatoire. Courir ? Inutile. Continuer à mentir ? Impensable. J'allais mourir. Ne fois de plus. Mais personne ne serait là pour me sauver la mise. Les lèvres retroussées, Laurent s'approchait de moi comme un prédateur approche sa proie. Alors, un groupe de cinq loups géants sortit de nulle part. Je vis Laurent blêmir, chose que je ne pensais pas possible. Puis il prit ses jambes à son cou. Le ténor m'ordonna de ne pas bouger. Les loups me regardèrent avant de partir à la poursuite du vampire. Effrayée, je finis par m'enfuir. Victoria me traquait. J'avais failli être tuée par Laurent. Une meute de loups à la taille anormale se tenait près de moi. Je me perdis dans la forêt. Lorsque je parvins à ressortir, je me trouvais à plusieurs centaines de mètre de ma voiture. Je retournais alors chez Charlie, terrifiée et plus seule que jamais. Ce soir-là, je ne dormis presque pas. Les cauchemars avaient redoublé de vigueur. Je sursautais au moindre bruit. Je ne pouvais rien faire contre elle. Rien du tout. Je n'étais qu'une humaine.
Quelques jours plus tard, agacée par l'absence de réponse de la part de Jacob, je décidai de me rendre à la réserve. Il me fallait mon ami. J'étais d'ailleurs persuadée qu'il traînait à présent avec Sam. En chemin, je rencontrais qui ne fit que confirmer mes angoisses. Billy m'avait assuré que Jacob n'était pas là. Tant pis. Je l'attendrais ici tout le temps qu'il faudrait. Ce temps fut relativement bref. Jacob vint me trouver, accompagné de Sam et de sa troupe. Il me demanda sèchement ce que je faisais là. Je lui répondis tout aussi sèchement qu'il fallait que je lui parle. En privé. Je parvins à l'isoler. Malgré cela, la conversation ne se passa pas bien. Il n'avait de cesse de défendre le bon Sam. Il finit par me rabrouer, prétendant que nous ne pouvions être amis. Furieuse et blessée, je quittais La Push en larmes. Je dus m'arrêter en chemin. C'en était fini du semblant de sérénité qui s'était installé dans ma vie. De nouveau, je devrais affronter mon chagrin seule. Une fois de plus, je tardais à trouver le sommeil. Je fus terrifiée d'entendre des crissements sur ma fenêtre. C'était Victoria. J'en étais certaine. Elle était venue pour me tuer. Ce soir, je ne serais plus. Tout ce que je pouvais faire, c'était rester silencieuse afin que Charlie ne se montre pas. Ce fut terrorisée que j'allais voir ce qu'il se passait à la fenêtre. Contre tout attente, je trouvais pas de tignasse rouge mais Jacob. Il se tenait sur l'arbre devant ma fenêtre. Je le fis entrer. Il bondit dans ma chambre sans bruit. Peu amène, je lui demandais ce qu'il fichait ici. Il essaya de m'expliquer son comportement, s'excusant. Mais lorsqu'il voulut me dire quelque chose d'important, ce fut comme s'il s'étouffait. Encore un secret. Encore et toujours un secret. Il fallait que je le devine cette fois encore. Il me rappela les histoires qu'il m'avait contées sur First Beach. Malheureusement, j'étais bien trop fatiguée pour comprendre quoique ce soit. Il s'en alla alors, me demandant de réfléchir. Si je ne voulais plus le revoir, il me demanda de l'appeler. Je le laissais partir, ne comprenant pas pourquoi je ne voudrais pas le revoir. Voilà qui ne m'aiderait pas à dormir du sommeil du juste.
Cette nuit-là, des loups envahirent mes rêves. Lorsque je me réveillais, j'avais deviné. Jacob faisait partie de ces loups qui m'avaient sauvé la mise dans la forêt ! Pourtant, il était un meurtrier. Je lui devais pourtant d'aller le voir.


Dernière édition par Isabella Cullen le Lun 9 Fév - 23:02, édité 1 fois
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Encore un malentendu


Je le rejoignis à La Push après les cours. Il n'était pas là. Je demandais à Billy de dire à Jacob que je l'attendais sur la plage. Peu de temps après mon arrivée, Jacob me rejoignis. Nous parlâmes. Une fois le malentendu réglé, Jacob n'était pas un meurtrier, je me rendis compte que c'était à lui et ses frères que je devais d'être encore en vie. En effet, ils empêchaient Victoria de passer. Lorsqu'il prononça ce nom, j'eus un haut le cœur, puis je me mis à haleter. Inquiet, Jacob me demanda ce que j'avais. Je lui expliquais alors les évènements de l'année précédente, lui donnant la réponse que sa meute cherchait. Ce que Victoria voulait atteindre, c'était moi. Il me serra contre lui. Il décida alors de m'emmener voir sa meute. J'avais des informations à leur faire partager. Mon arrivée rendit Paul furieux. Et les autres aussi. Cependant, certains étaient plutôt contents. Comme Sam partait calmer Paul, Jared et Embry furent forcés de me conduire chez Emily. Elle était la petite amie de Sam. La partie droite de son visage était griffée. Les stigmates descendaient le long de son bras. J'appris que c'était Sam qui lui avait infligé cela. Il s'était laissé emporter. Enfin bref. J'eus l'honneur de rencontrer la fille à loups. Ainsi que la famille qu'elle et les loups formaient. Tous se considéraient comme des frères.
Lorsque Jacob leur raconta tout ce que je venais de lui apprendre sur Victoria, il fut décidé que je passerais le plus clair de mon temps à La Push. Les loups pouvaient y assurer ma sécurité. Pour ce qui était de Charlie, il était évidemment invité à voir tous les matchs de base-ball. Je restais souvent seule à la réserve, mon loup d'ami partant souvent patrouiller pour ma sécurité. Jacob me rappela un jour la promesse qu'il m'avait faite. Comme le temps allait être plus clément, il m'emmènerait le lendemain sauter des falaises. Malheureusement, il ne put tenir sa promesse. Comment allai-je supporter une nouvelle journée alors que je m'étais tant attendue à entendre la merveilleuse voix aujourd'hui ? Je décidais alors d'y aller seule. Après tout, seule ou avec Jacob, quelle importance ? Lorsque j'arrivais, la pluie commença à tomber. Je ne me démontais pas, motivée par l'idée seule de pouvoir l'entendre. Cela ne manqua pas. Il commença par me supplier. Puis finit par être en colère. Je me délectais du son de sa voix. C'était la seule façon que j'avais trouvé pour qu'il reste avec moi. Je bondis alors, hurlant de joie. Lorsque je retombais dans l'eau, j'étais heureuse. Mais le courant m'emporta. Je n'avais pas pensé à cela. Je valdinguais, incapable de rejoindre la surface. Je me battis d'abord. Je finis par renoncer malgré ses suppliques. « Je t'aime » fut ma dernière pensée. La mort était douce.
Le courant finit par me conduire vers des rochers qui heurtaient violemment mon dos, faisant ressortir l'eau de mes poumons. Je préférais l'autre mort. Je me rendis compte que je n'étais pas encore morte lorsque la voix de Jake résonna. Il m'ordonna de respirer. Je ne pus m'exécuter, les flots d'eau salée ne cessaient pas suffisamment longtemps pour que je puisse reprendre mon souffle. Malgré tout, je finis par reprendre connaissance. Jacob me ramena chez lui. J'appris que pendant que je plongeais, Harry Clearwater avait fait une crise cardiaque et que Billy était à l'hôpital, avec Sue et Charlie. Jacob me réprimanda. Comment avais-je pu être aussi stupide ? J'avais vraiment failli mourir. Pas une fois je n'avais pensé à Charlie. Je finis par m'endormir sur le fauteuil de Billy alors que Jacob s'endormit sur le sol. Lorsque nous nous réveillâmes, Billy venait de rentrer. Visiblement, Harry était mort. Jacob me ramena chez moi.
Lorsque nous arrivâmes, une Mercedes était garée devant la maison. Je connaissais cette voiture ! C'était celle de Carlisle ! Jacob refusa de s'arrêter. L'odeur lui rappelait celle de Victoria. Je l'exhortais cependant à s'arrêter. Il me laissa alors et rentra. Chez moi, Alice attendait. Je me jetai dans ses bras. J'avais oublié combien elle était belle. J'avais oublié combien elle sentait bon. Maintenant, elle était là, contre moi. Elle me questionna sur la raison pour laquelle j'étais encore en vie alors qu'elle m'avait vue sauter d'une falaise avant que mon futur ne disparaisse. Je la rassurais, lui disant que Jacob m'avait sortie de là. Elle me morigéna à son tour. Comment avais-je pu songer à me suicider ? N'avais-je pas de pitié pour Charlie ? J'eus du mal à me défendre. Cependant, elle me crut. Heureusement d'ailleurs. Le téléphone sonna. J'allais répondre. Un Jacob peu amène souhaitait savoir si tout allait bien avant de raccrocher. Alice partit chasser. Elle passerait quelques jours à la maison. Lorsque Jake revint accompagné de deux autres loups, Alice s'éloigna. Nous commençâmes par nous toiser. Puis il partit. Je me mis alors à pleurer. J'étais en train de perdre mon ami. Alors il se retourna vers moi et je me blottis contre lui. Durant notre étreinte, le téléphone sonna. Jacob y répondit, annonçant à son interlocuteur que Charlie était à l'enterrement. Puis il raccrocha. Je me fâchais. On ne raccrochait pas au nez des gens comme cela chez moi. Il m'expliqua que Carlisle avait raccroché le premier. Avant que Jacob n'ait eu le temps de partir, Alice m'appela. Je courus vers elle. Elle semblait bouleversée. Elle chuchota. « Edward... » Alors je m'évanouis. Jacob jura avant de me rattraper et de me poser sur le fauteuil.

Course contre la montre


Lorsqu'Alice appela Carlisle, son chagrin s'était mué en rage. Elle m'expliqua brièvement que Rosalie avait dit à Edward que j'étais morte. Nous en conclûmes que ce n'était pas Carlisle mais Edward qui avait appelé. Alice l'avait vu aller demander aux Volturi de le tuer. « NON ! Hurlai-je. » J'étais la seule à pouvoir l'empêcher de faire une énorme bêtise. En quelques minutes, je fus prête à partir. Jacob était furieux mais je n'avais pas le choix. Je laissais un mot rapide à Charlie, lui annonçant qu'Edward avait des ennuis et qu'il pourrait me punir lorsque je rentrerai. Alice et moi quittâmes Forks à toute allure. Nous prîmes l'avion jusqu'à Florence. Là-bas, nous dûmes voler une voiture. Rapide mais tape à l'œil. Alice conduisit aussi vite que possible jusqu'à ce que la file des gens venant assister à la St-Marcus se fit trop dense pour qu'Alice puisse doubler. Arrivés en haut, Alice soudoya un garde afin de pouvoir rentrer dans la cité avec la voiture. Elle me déposa le plus près possible de la place principale. Je devais la traverser jusqu'à arriver devant le clocher. Edward se trouverait dans une des rues adjacentes. Je disposais de moins de deux minutes pour traverser une place noire de monde sans trébucher. Autant dire que je n'y croyais pas plus que de raison. Je courus jusqu'à n'en plus pouvoir, ignorant la morsure de l'eau glacée de la fontaine et la foule furieuse que je bousculais. Lorsqu'enfin j'entrevis sa pâleur parfaite, il était presque trop tard. Sa chemise gisait au sol. Comme Alice l'avait prédit, il allait s'exposer au soleil. Les Volturi n'accepteraient jamais une telle chose. Je me jetai sur lui, le heurtant de plein fouet. Il ne parut pas déstabilisé. Ce fut comme si j'avais heurté un rocher. Au départ, Edward crut qu'il était mort. Si j'étais en Enfer, il acceptait la mort sans résister. Il me fallut plusieurs essais pour le convaincre que je n'étais pas une illusion, qu'il n'était pas encore mort et que j'étais toujours en vie.
À vrai dire, ce furent les pensées des gardes qui l'alertèrent. Il se positionna alors de façon à me protéger. Félix et Démétri insistèrent pour que nous allions voir les Volturi. Edward refusa, de moins en moins courtois. Alors que la discussion allait tourner à la rixe, Alice arriva, enfin. Cependant, les gardes furent rapidement rejoint par Jane. J'ignorais encore pourquoi cette petite femme pouvait être aussi crainte. En effet, son arrivée poussa Edward et Alice à capituler. Nous suivîmes donc les gardes, Edward accroché à ma taille. Il me soutenait à moitié car je sentais la fatigue de ces trois derniers jours se faire sentir. Je n'avais quasiment pas dormi. Pourtant, je tins le coup. Les couloirs souterrains et sombres menant au château me mirent mal à l'aise. J'eus vite l'impression de suffoquer. La présence d'Edward me rassura. Malgré tout, j'ignorais combien de temps il me restait à passer avec lui. Après tout, il m'avait quittée. J'étais venue pour lui sauver la vie mais je savais que je retrouverais rapidement le vide une fois rentrée chez moi. Il ne voulait plus de moi. Et pourtant, il s'accrochait à moi. Félix poussa quelques soupirs probablement à cause de ma lenteur d'humain. Quand enfin nous arrivâmes dans un endroit relativement accueillant au vu des circonstances, je fus choquée de voir que la secrétaire n'était elle aussi qu'une humaine. Nous ne patientâmes pas suffisamment longtemps pour que je puisse me poser plus de questions. Rapidement, nous nous trouvâmes face à celui que l'on me présenta comme Aro. Il avait un visage angoissant. Plus que la rougeur laiteuse de ces yeux, la transparence de son visage m'effraya. Nous ne tardâmes pas non plus à rencontrer Marcus. Celui-ci effleura la main du premier qui ne put retenir un hoquet de stupeur. Edward m'expliqua que Marcus avait été frappé par la force de la relation qui nous unissait Edward et moi. Apparemment, cette force impressionnait aussi Aro. Étrangement, Aro semblait jovial. Il offrait un contraste saisissant avec Marcus qui lui suintait l'ennui. La conversation était particulièrement polie. Aro parla de moi comme de la 'tua cantate'. J'ignorais ce que cela voulait dire. Puis, il fut curieux de voir si je résisterai à son pouvoir comme je résistais à celui d'Edward. Je me laissais faire après avoir interrogé Edward du regard. Évidemment, le pouvoir d'Aro n'eut aucun effet sur moi. Ce dernier se posa alors une question à laquelle Edward répondit avec qu'Alice et moi ne l'ayons entendue. Il semblait furieux. À tel point qu'il se jeta sur Jane avant même que je n'aie compris pourquoi. En quelques fractions de secondes, il se retrouva à terre, se tordant de douleur silencieusement sous mes yeux terrifiés. Alice voulut me rassurer. Selon elle, il allait bien. Je n'en étais pas si sûre. Pourtant, lorsqu'Aro demanda à Jane de cesser, Edward se releva comme si de rien n'était. Jane exerça ensuite son pouvoir sur moi. Par bonheur, elle ne parvint à rien. Cela eut le don de l'agacer.
Puis Aro se demanda ce qu'il allait faire de nous. Il commença par nous proposer à chacun, moi comprise, de rester avec eux. Caïus réagit lorsque son frère me fit cette proposition. Pour ce dernier, j'avais un potentiel particulièrement alléchant. Je déclinai l'invitation à l'instar d'Edward et de ma meilleure amie. Aro décida de laisser partir les Cullen. Mais pas moi. J'en savais trop et Edward n'avait pas l'intention de me transformer. Ce fut Alice qui sauva ma vie, une fois de plus. Elle montra à Aro ce qu'elle avait vu. Elle me montra transformée en vampire. Cela lui suffit. Nous nous apprêtions à quitter l'endroit lorsqu'une certaine Heidi, beauté aux iris pourpres, s'engouffra dans la pièce. Elle me lança un regard intrigué avant de reporter son attention sur les autres. Elle n'était pas seule. Un groupe de touristes, tous humains, la suivait. Edward se dépêcha. Cependant, j'avais compris et j'eus même le loisir d'entendre des hurlements avant que nous n'ayons eu le temps de passer la porte de la pièce suivante. Lorsque le bruit se tut, nous étions de nouveau dans l'espèce de salle d'attente. Alors je me mis à trembler et à sangloter. Edward me serra contre lui, m'enveloppant dans son manteau de laine pour me protéger de la froideur de sa peau. Il me répétais que j'étais en sécurité. Lorsque je fus calmée, repensant que j'ignorais si je pourrais rester avec Edward après notre retour à Forks, je commençais à profiter de la beauté d'Edward. Je luttais contre le sommeil, refusant de rater la moindre seconde de ces retrouvailles qui je le savais ne dureraient pas longtemps. Lorsque nous fûmes autorisés à quitter cet endroit maudit, je refusais toujours de dormir. Je ne tenais pourtant presque plus debout. Je ne dormis ni dans la voiture, ni dans l'avion. Lorsque nous arrivâmes à l'aéroport, j'étais toujours aussi fatiguée. La famille Cullen me remercia. Je n'avais pourtant rien fait. Rosalie et Emett nous attendait dehors. La belle blonde me demanda pardon. Edward et moi montâmes avec le couple dans la voiture. Cette fois-ci, je ne pus résister. Je m'endormis. J'étais à moitié consciente lorsque nous arrivâmes chez Charlie. Edward me porta jusque dans ma chambre malgré la fureur de mon père.
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyLun 9 Fév - 1:28

Retour aux sources


Lorsque je me réveillais, j'eus la sensation de toujours rêver. Edward était encore là. Je pensais rêver. Ou être morte. J'étais persuadée que cela ne pouvait être réel. C'était tout bonnement irréel. Pourtant, Edward m'assura qu'il était réel. J'en profitai pour lui poser quelques questions. Parmi elles, je lui demandais ce à quoi il avait passé son temps. Il s'était essayé à la traque. Celle de Victoria. Cela dit, il se fondit en excuses, prétendant qu'il ne pensait pas que cela se passerait ainsi. Pour lui, j'aurais du vite m'en remettre. Il avait sous-estimé mon amour pour lui. Je ne le laissais pas continuer. Ainsi, il finit par démentir ce que je pensais. Il ne s'était pas rendu chez les Volturi parce qu'il se sentait coupable de ma mort mais parce qu'il me pensait morte. Tout simplement. Lorsqu'il eut enfin réussi à me convaincre que je ne dormais pas, qu'il m'aimait et qu'il n'avait aucunement l'intention de s'en aller, le sujet de ma transformation revint sur le tapis. Comme il ne semblait pas vouloir céder, je décidai de me rendre chez lui et de parler à sa famille. Ce serait à eux de décider si je devais devenir ou non une des leurs. Edward était furieux. Il accepta cependant de m'emmener chez lui, espérant évidemment que le vote me serait défavorable. Edward refusa bien évidemment. Alice et Jasper acceptèrent sans condition. Rosalie refusa, refusant de m'infliger ce qu'elle aurait préféré ne pas subir. Emett accepta avec une joie non dissimulée. Esmée et Carlisle se rangèrent de mon côté. Edward partit. Un grand fracas se fit entendre. Après que j'aie demandé à Alice de me transformer, Edward revint. Alice refusa de me transformer, ignorant comment faire pour ne pas me tuer. Je questionnai Carlisle. Lui accepta. Néanmoins, Edward me rappela que Charlie serait capable de venir et de créer des ennuis aux Cullen. Je fus obligée d'accepter de remettre ma transformation à l'après-bac. Edward me ramena ensuite chez moi. Il y resta. Comme avant. Avant que je ne me rendorme, il me demanda ce que je voudrais avoir de plus. Je lui répondis que j'aimerai que ce soit lui et pas Carlisle qui se charge de ma transformation. Immédiatement, il tenta de négocier. Il me demanda cinq ans, temps que je lui refusais. Puis il me proposa trois ans. Je refusais aussi. Je proposais alors un an. Cette fois-ci, il refusa. Il émit une condition qui me révulsait. Si je voulais qu'il me transforme, je devrais l'épouser d'abord. Sur le coup, je refusais. Il ne manquait plus que cela ! Une chose était certaine : si je décidais de me marier, j'aurais encore plus d'ennuis avec Renée et Charlie qu'avec Victoria.
La routine se réinstalla dans ma vie. J'étais évidemment privée de sortie. Je rentrais directement après l'école sauf les jours où je travaillais chez les Newton et j'avais des heures de visite pour voir Edward, toujours sous surveillance paternelle. Il me faisait remplir d'innombrables dossiers pour l'université. À quoi cela pouvait-il bien servir ? Enfin je m'exécutais afin que Charlie me fiche la paix. Un soir, alors que je fulminais contre un Jacob qui ne répondait pas à mes appels, j'eus de nouveaux ennuis. En effet, le Quileute m'attendait, ou plutôt attendait Edward, chez Charlie. Il avait bien sûr mené ma moto. Le tout pour que je sois confinée à la maison et que je passe moins de temps avec Edward. Il pensait que c'était ce dernier qui m'empêchait d'aller à La Push pour botter l'arrière-train à cet adolescent écervelé qui venait de me trahir. Malgré cette excuse, je ne lui pardonnais pas. C'était tout simplement hors de question. Enfin si Jacob était encore là, c'était pour rappeler le traité aux Cullen. Une des clauses du traité stipulait que les Cullen ne devait pas mordre d'humain. Lorsqu'il annonça cela, je me fâchais, rabrouant Jake. Cela ne le regardait pas ! Il comprit rapidement que j'avais dans l'intention de devenir une des leurs. Après la fureur, ce fut une tristesse implacable qui vint teinter les traits de Jacob. J'avais perdu mon ami. Chose qu'il me confirmât en me disant qu'il ne voyait pas comment nous pourrions encore être amis à présent. Ce fut choquée que je me dirigeais vers un Charlie carrément furieux et prêt à exploser. Edward était là. Heureusement.
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyLun 9 Fév - 23:01

Hésitation


Une question d'équilibre


Depuis la trahison de Jacob, ma punition était encore pire. Cependant, consciente de mes fautes, j'assumais mes actes. Ce fut pour cette raison que Charlie un soir décida de cuisiner. Avant même qu'il n'ait dit quoique ce soit, je sus qu'il voulait me dire quelque chose. En effet, il me parla à la fin du repas. Il acceptait de se montrer plus souple dans ma punition à condition que je me rabiboche avec Jacob. Ce n'était pas aussi simple... Nous nous passions des mots par l'intermédiaire de Charlie et Billy, moi demandant à Jacob de redevenir mon ami et Jacob refusant malgré que mon amitié lui manquât. C'était pathétique. Pourquoi était-il si borné ? Cependant, l'idée de n'être plus punie me réjouissait quelque peu. Edward pourrait rester plus longtemps de façon légale. En tout cas, l'idée que Jacob allât mal par ma faute me rendait particulièrement triste. Edward refusait de me laisser aller le voir pour une raison louable : les loups étaient instables. Je ne pouvais rien opposer à cela, ne me rappelant que trop bien le visage détruit d'Emily. Pourtant, je ne me laissais pas faire. Il promit de m'empêcher d'aller le voir et je le mis au défi d'y parvenir. Je devais aller voir Jacob. Il fallait que je retrouve son sourire. Il fallait que l'image de son visage triste disparaisse de mon esprit. C'était important pour moi.
L'échéance se rapprocha lorsque Charlie m'annonça que nous étions invités à La Push le weekend suivant. Edward se débrouilla encore pour m'éloigner en faisant quelque chose que je ne voulais pas. Il parla à mon père des billets d'avion qu'Esmée et Carlisle m'avait offerts pour que je puisse aller voir ma mère. Il s'arrangea pour que Charlie soit obligé de comprendre que je devais y aller, avec Edward, ce weekend là. En toute logique, la présence d'Edward énerva mon père qui se décida à me punir. Je dus me disputer avec lui, chose que j'aurais préféré éviter. Finalement, nous partîmes. J'étais furieuse après Edward. Par sa faute, j'avais du lancer un nouvel ultimatum à mon père, menaçant de déménager s'il ne cessait de se montrer injuste. Finalement, le vampire gagna. Nous irions rendre visite à Renée ce weekend-là.
La visite se passa bien. Renée fut particulièrement heureuse de me voir. Cependant, j'avais oublié qu'elle était capable de perspicacité quand elle le voulait. Elle me parla d'une chose que je n'avais pas remarqué. D'un point de vue extérieur, on aurait dit que je gravitais autour d'Edward, m'ajustant à sa position dès qu'il bougeait. Renée avait même dit que c'était comme si nous partagions le même secret. J'avais ri. Cela la dissuada de garder en tête cette idée qu'elle trouvait saugrenue. Quand nous arrivâmes à Forks, Charlie eut à peine le temps de me prévenir que Jacob souhaitait que je le rappelle que le téléphone se mit à sonner. Au bout du fil, l'indien parut soulagé que je sois rentrée. Il me demanda si je serais au lycée le lendemain, apparemment sans raison précise. En réalité, si j'allais au lycée, cela signifiait que j'étais toujours humaine... Lorsque j'aurais été mordue, je devrais rester loin de toute population humaine pendant un certain temps.
Le lendemain, Jacob attendait Edward au lycée. Au cours de la conversation entre ces deux créatures qui ne pouvaient cohabiter, j'appris qu'il s'était passé quelque chose pendant que j'étais chez Renée. C'était donc pour cela qu'Edward m'avait éloignée... Visiblement, il y avait eu un malentendu et Emett avait failli se battre avec Paul. Par bonheur, Carlisle avait pu calmer les choses. Jacob reprocha à Edward de ne pas m'avoir mise au courant. Pour lui, j'étais plus forte que je n'en avais l'air. Et j'avais connu pire. Son regard changea et je vis les prunelles d'Edward s'emplir de douleur. Furieuse, j'ordonnai à Jacob de cesser. Il obéit à contre-cœur. Alors il me demanda de passer le voir à la réserve. Je lui manquais... Mais comment pouvais-je faire ? Le proviseur m'épargna une réponse franche. Nous nous éloignâmes et Jacob repartit de son côté. En cours, je demandais à Edward de m'expliquer ce qu'il s'était passé. Ce qu'il fit. Victoria était revenue. C'était aussi simple que cela. Comme Alice ne voyait rien lorsque les loups étaient dans les parages, elle n'avait pas pu prévenir Emett et Paul avait cru qu'il avait dépassé la limite. Encore et toujours des malentendus.
Quand Edward m'annonça qu'il partirait chasser avec Emett pendant deux jours, je pensais m'ennuyer. Je n'avais pas le droit d'aller à La Push pour des raisons idiotes et si je faisais mine de me rendre la bas, Alice rappliquerait immédiatement. Cependant, j'eus une idée qu'Alice ne pus prévoir. Je travaillais chez les Newton le samedi après-midi. Ce jour-là, ils n'avaient pas besoin de moi. Une affiche montrant un loup hurlant à la pleine lune me souffla d'aller rejoindre Jacob, sans prévenir. Ce que je fis. Celui-ci fut ravi de mon évasion. Nous passâmes un très bon moment ensemble. Je dus pourtant le quitter, ayant promis à Angela de l'aider à envoyer ses invitations. Sur le chemin, Edward me suivit. Je ne jetai pas un œil en arrière, me doutant qu'il était furieux. J'aidais Angela, comme promis, avant de rentrer. Edward était furieux, comme prévu. Et jaloux. Le weekend suivant, il paya sa sœur pour me garder alors que j'avais promis à Jacob de passer le voir pendant qu'Edward chasserait. J'étais tout bonnement furieuse et Jacob fut déçu. Je devrais dormir chez les Cullen le vendredi soir et le samedi soir. Génial... Je laissais un message furieux sur le répondeur d'Edward avant d'aller me coucher. Edward avait acheté un grand lit couleur d'or spécialement pour moi. Je refusais de m'y installer, préférant l'inconfortable canapé noir. Ce soir-là, Rosalie vint me parler. Elle me raconta son histoire. Je fus heureuse qu'elle finisse par m'accepter. Même si je la redoutais toujours un peu.
Le samedi matin, j'allais en cours. Jacob m'y retrouva, sur une grosse moto, et m'amena, sous le regard furieux d'Alice. J'avais retrouvé mon ami. En partie du moins. Cependant, cette rencontre ne se passa pas aussi bien que je ne l'aurais souhaité. Le sujet de ma transformation arriva dans la conversation. Jacob m'annonça qu'il préfèrerait que je meure plutôt que vampire. Ce fut comme s'il m'avait giflé. En plus violent. Furieuse, j'enfourchais ma moto et rentrais chez les Cullen. Je m'endormis difficilement sur le canapé.
Lorsque je me réveillais, j'étais couchée sur le lit. Edward était près de moi. J'aurais du être furieuse. Et lui aussi. Il n'en fut rien. Lorsque je racontais à Edward ce que Jacob avait dit, il se raidit. Il aurait été capable de tuer Jacob pour avoir oser prononcer de tels mots. Il m'avait blessée... Nous passâmes la nuit ensemble, comme toujours après tout. Quand je rentrais chez Charlie, Jacob n'avait cessé d'appeler. Charlie voulait que je rappelle. Je n'en fis rien. Il ne lui ferait pas de mal de patienter. La lessive s'étant accumulée, je décidai de faire une machine. Ce fut alors que je me rendis compte de la disparition de certains de mes objets. Je pensai qu'Alice les avait emporté pour mon séjour chez eux. Edward m'apprit que quelqu'un, un vampire, était entré dans ma chambre et en était ressorti, alors que Charlie dormait. Je fus bouleversée. Alice n'en savait pas plus que nous. Une seule certitude était établie : il ne s'agissait pas de Victoria. Le lendemain, je contactais Jacob. Je lui pardonnais ses propos, évidemment. Edward l'informa des évènements du weekend. Jacob rappliqua rapidement afin de venir inspecter l'odeur intruse.

La Fête


Avant de partir, Jacob se débrouilla pour me taper sur le système. Encore. Il m'invita à une soirée feu de camp qui l'emballait. Je demanderais à Edward. Avant que je n'aie pu aborder le sujet, il me questionna sur les affaires que l'on m'avait dérobées. Alice n'était pas la responsable de cette disparition. Le mystère restait entier. J'appris par ailleurs quelques secondes après qu'un nouveau-né, ou plusieurs même, sévissaient à Seattle. J'attirais décidément tous les ennuis dans mon sillage ! Enfin Edward me laissa aller à la soirée Quileute à condition de m'accompagner jusqu'à la limite Quileute et de pouvoir me joindre sur un portable. J'acceptais. Jacob aussi. J'appréciais grandement la soirée. Les anciens racontèrent les histoires de leurs ancêtres dont une parlait d'une femme qui, pour sauver les autres de la soif du vampire s'ouvrit les veines avec un couteau, permettant aux loups de battre la créature. Je finis par m'endormir. Je me réveillais dans la voiture de Jacob. Il avait prévenu Edward pour moi. Celui-ci m'attendait à la limite, faisant les cent pas.
Quelques jours plus tard, Alice vint me parler, menaçante, d'une fête que j'étais supposée organiser pour fêter mon diplôme. Je ne négociais pas, sachant que je perdrai dans tous les cas. J'acceptais alors à contre-cœur. Edward semblait tenir à cette fête. Lorsque nous nous trouvâmes seuls, il constata que je n'étais pas prête à devenir un vampire. Personne ne me transformerait tant que je serai menacée. Cela aurait pourtant grandement facilité les choses... Mais lui ne voulait pas me voir devenir comme lui. Ce n'était pas parce qu'il avait peur de moins m'aimer mais parce qu'il pensait que j'aurais une meilleure vie en restant humaine. Comme je lui posais cette question, il m'interrogea sur les raisons de mon refus de devenir sa femme. Embarrassée, je répondis que je n'étais pas de ces filles qui se mariaient à peine leur diplôme obtenu. Charlie et Renée était le parfait exemple à ne pas suivre. Ils s'étaient mariés trop tôt. Si je venais à leur dire que je me marierai sous peu, ils seraient sans aucun doute furieux. Pour Edward, c'était une façon de faire les choses dans l'ordre. Mariage puis éternité. Voilà tout. Sa condition tenait toujours. Si je voulais qu'il me transforme, je devrais l'épouser. Pouah ! Enfin il me restait un délai avant de penser à cela. Le danger, grandissant, devait être écarté au plus vite.
Apparemment, une armée de nouveaux-nés avait été créée dans les alentours. Ce fut vers Jasper que tous se tournâmes. Il me raconta alors son histoire. Il avait été un nouveau-né dans une armée telle que celle qui semblait décimer Seattle. Il m'expliqua tout ce qu'il fallait savoir sur eux. Supposant qu'il faudrait les battre. Carlisle demanda de l'aide au clan de Tanya qui refusa à cause d'Irina. La menace était réelle mais les Cullen semblait la prendre à la légère. Lorsqu'Edward dut aller chasser avec Alice, il proposa de me laisser sous la surveillance d'Emett et Jasper, ce qui ne me ravit pas le moins du monde. Je finis par obtenir le droit d'aller à la Push. Je pensais que j'y serais mieux qu'avec ces frères qui ne cesseraient de se moquer de moi. Jacob passa la plupart du temps à dormir. Lorsqu'il fut temps de partir, il me fit une déclaration qui me surpris. Il énonça à haute voix qu'il m'aimait. Je l'éconduis. J'aurais d'ailleurs du lui dire qu'il valait mieux que l'on ne se revoit pas mais je n'en eus pas le courage. Il avait décidé de se battre contre Edward, pour mon cœur, s'entend. Il m'embrassa de force. Je me débattis au début mais il avait trop de force. Alors je le laissais faire. Lorsqu'il eut fini, je lui envoyai mon poing dans la mâchoire. Si lui ne souffrit pas le moins du monde, ma main était cassée, j'en étais certaine. Il me ramena chez Charlie. J'y appelais Edward. Lorsque celui-ci arriva, il était furieux. Il menaça Jacob. S'il me ramenait encore amochée, Edward promit de lui arracher la tête. Cela me fit plaisir. Ils avaient tous les deux décidés de se battre pour moi. À Phœnix, nul ne s'intéressait à moi. Ici, c'était tout le contraire. Agaçant. Au final, je m'en sortis avec une simple attelle.
Le jour de la remise des diplômes arriva enfin. Alice me sauva la mise en m'apportant un joli ensemble bleu. Cependant, le rapprochement que je fis lorsqu'elle me rappela l'intrusion dans ma chambre me bouleversa. Les vêtements avaient été dérobés pour faire renifler mon odeur aux nouveaux-nés ! C'était aussi simple que cela ! Je fis part de ma découverte à Alice. Celle-ci fut étonnée de ma perspicacité et se mit d'accord avec moi pour cacher cela à son frère, ou moins le temps de la remise des diplômes. Pour cacher cela, Alice avait traduit l'hymne national en coréen et en arabe. Malgré tout, je fus forcée d'en parler à Edward dès que la cérémonie fut finie. Sa réaction fut moins terrible que je ne m'y étais attendu. Cependant, il me laissa aller manger avec mon père. Le repas traîna en longueur mais finit quand même par prendre fin. Je me retrouvais plus vite que prévu à la fête que j'étais supposée avoir organisé. Alice avait invité tous les gens que je connaissais. Tous avaient acceptés d'ailleurs. Je me demandais s'ils étaient réellement nostalgique ou si c'était la curiosité qui les avaient conduits ici. Je me surpris à apprécier mon rôle d'hôtesse. Edward était continuellement près de moi. Sa réaction lorsque Mike vint me parler m'aurait fait sourire si je n'avais pas été aussi préoccupée par la situation actuelle.
Les loups débarquèrent. Je fus bien entendu furieuse, tout comme Alice. J'avais certes invité moi-même Jacob, mais c'était avant qu'il ne me vole un baiser ! Je tentais de le congédier. Une vision d'Alice m'en empêcha.


Dernière édition par Isabella Cullen le Lun 9 Fév - 23:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyLun 9 Fév - 23:02

Une alliance


Alice avait vu l'armée venir à Forks. Alors que je me préparais à aller les rejoindre, mentalement s'entend, un alliance se créa entre ma famille et celle de mon ami. Cette nuit, après la fête, une réunion préparatoire, à laquelle je voulus assister, aurait lieu. Y assisteraient les Cullen ainsi que les loups Quileute. L'expérience de Jasper leur serait utile à affronter cette armée. Cette idée me déplaisait franchement. Je n'eus encore pas mon mot à dire. J'assistais avec une angoisse non voilée à cette sorte de répétition. Je grimaçai lorsque Jasper se battit contre Alice. C'était censé me rassurer. Il n'en fut rien. L'idée que la frêle petite Alice puisse se battre contre un nouveau-né me terrifiait autant que si c'était Jacob. Pour moi, Victoria était derrière tout cela. Elle manipulait le don d'Alice pour qu'elle ne devine pas ce qu'il se passait. Les Volturi n'y étaient pour rien. Ils ne transgressaient pas les règles. Jasper proposa que je serve d'appât. Cette idée me plaisait plus que les autres. Mais elle répugnait à Edward. Je me retrouvais un soir seule avec Edward. Dans la grande villa blanche. Je l'autorisais à m'offrir quelque chose comme Jacob m'avait offert un bracelet. De la récupération. J'appris plus tard qu'il s'agissait d'un diamant. Le pendentif était sublime. Je le porte souvent aujourd'hui encore. Cela fait, je décidais de négocier un peu les conditions posées par Edward. Il tenait à ce que je l'épouse. Je tentais de négocier. Il y avait effectivement une expérience humaine que je souhaitais connaître. Lorsqu'il me repoussa, je me sentis offensée. Ce fut avec horreur qu'il se rendit compte de la méprise. Il parvint tant bien que mal à me rassurer. Alors je lui annonçait que mon désir était une exigence. Je ne me marierais que si j'obtenais cela. Finalement, je cédais à moitié. Nous nous marierions et il accèderait à ma requête ensuite. Encore une fois, il voulait faire les choses dans l'ordre. La bague était magnifique. Edward ne me força pas à accepter un mariage en grande pompe. Ce fut Alice qui força la décision. Si nous allions nous marier à Las Vegas, Alice m'en voudrait jusqu'à la fin des temps. Je lui permis d'espérer un mariage 'normal'.
Cette formalité achevée, je partis avec Edward. Il me suivit à distance pour ne pas que ma trace soit entachée de la sienne. Je devais toucher le plus d'objet possible afin que les nouveaux-nés se dirigent là où les Cullen les attendaient. Tous les Cullen, sauf un. Edward. Je refusai qu'il m'abandonne une fois de plus. Cela me fit culpabiliser outre mesure. Lorsque nous arrivâmes à l'endroit voulu, Jacob me récupéra et courut avec moi dans ses bras. Lorsque nous arrivâmes à l'endroit où Edward, Seth et moi devrions patienter, la tente était déjà plantée. Visiblement la météo jouait contre nous. Jacob dut passer la nuit dans mon duvet, avec moi, afin que je ne gèle pas. Cela ne plut pas à Edward. Pourtant, il n'en dit rien. C'était une obligation. Alors que j'étais à moitié endormir, tous deux parlèrent. Je ne me souviens pas de ce qui se dit.
Lorsque je me réveillais enfin, je tentais de sortir de mon duvet. Jacob m'en empêchant, je demandais de l'aide à Edward. Ce dernier fit rouler mon ami qui, surpris par le contact froid du sol, se jeta sur moi, me coupant la respiration. Tout aussi vite, son corps alla valdinguer dans les piquets. Une bataille menaçait d'avoir lieu sous cette tente. Heureusement, je parvins à calmer leurs ardeurs. Jacob quitta la tente. Alors Edward et moi parlâmes des meilleures nuits que nous avions passées. Ce fut ainsi que Jacob, qui nous écoutait, apprit qu'Edward allait m'épouser. Un hurlement déchirant se fit entendre. Je m'en voulus alors de ne pas lui en avoir parlé avant. Edward alla alors chercher mon ami, celui que je venais de blesser une fois de plus. Lorsqu'il revint accompagné de Jacob, une bouffée de réconfort me submergea. Edward s'éloigna avec Seth. Il ne m'écouterait pas. Je m'excusais. Jacob me fit du chantage en quelque sorte. Si je ne l'embrassais pas, il se laisserait tuer pendant la bagarre. Alors je l'embrassais. Il profita du baiser alors que je me faisais violence pour ne pas le repousser. Lorsqu'il partit, j'allais me coucher sur mon duvet, priant pour qu'un avalanche m'enterre immédiatement. Comment avais-je osé faire cela ? Comment avais-je pu être aussi idiote ? Cependant, Edward ne fut pas fâché. Cela eut le don de m'irriter. J'eus beau apprendre que Jacob m'avait manipulée, je ne pouvais que m'en vouloir plus encore.

Tout est bien qui finit bien


Seth étant resté parmi nous, Edward et moi pouvions suivre les évènements de la plaine à distance. Edward répétait à voix haute ce qu'il lisait dans l'esprit de Seth pour que je puisse comprendre. Les choses s'accéléraient. Au bout d'un moment, Edward se tendit. Victoria avait trouvé sa trace. Elle était en chemin. Elle n'était pas seule. Un nouveau-né la suivait comme son ombre. Elle prétendait l'aimer. Pourtant, elle ne fit pas un geste pour l'aider lorsque Seth pris le dessus sur lui. Moi je m'apprêtais à faire diversion. Seth étant au sol, il ne restait qu'Edward pour abattre les deux vampires. Je me saisis d'un caillou suffisamment tranchant et l'approcher du creux de mon coude. C'est alors que Seth acheva Riley. Dès qu'elle eut compris qu'elle n'avait plus aucune chance, Victoria tenta de s'enfuir. Malheureusement pour elle, Edward était bien plus rapide. Il se jeta sur elle et la tête rousse ne tarda pas à rouler dans la forêt. C'était fini. Je jetai le caillou dès lors qu'Edward m'eut rappelé sa présence. Je fondis alors en larmes dans ses bras. Tout le monde était vivant. C'était l'essentiel. Seul Jacob avait été blessé. Cependant, tout n'était pas fini.
En effet, les Volturi ne tardèrent pas à arriver. Quelques minutes avant leur arrivée, je gisais, inconsciente, dans les bras d'un Edward plus inquiet que jamais. Je repris conscience lorsqu'il m'annonça que la vie de Jacob n'était pas en danger. Par chance, Jane et Démétri ne nous posèrent aucun problème. Ils repartirent aussi vite qu'ils étaient arrivés puisque le travail avait été fait.
Nous rentrâmes chez les Cullen. Alice me pouponna afin de justifier à Charlie que nous étions allées faire les boutiques. Cette épreuve terminée, j'allais à la Réserve. J'abordais avec Jacob le sujet qui nous séparait. Lui m'aimait. Moi aussi. Mais pas comme lui m'aimait. Il me promit d'être sage, de rester tout simplement mon ami. Durant toute l'entrevue, je ravalais mes larmes. Lorsque je quittais la Réserve, je laissais la peine m'accabler. Je dus m'arrêter sur le bas côté. Je passais un certain temps à sangloter, le temps qu'Alice me repère et qu'Edward vienne me chercher. Il me cajola, attendant que je me calme. Cependant, je ne parvins pas à me retenir très longtemps. Les vannes se stoppèrent le temps de passer le barrage de Charlie. Une fois dans ma chambre, je passais la plus grande partie de la nuit à pleurer dans les bras d'Edward. Lorsque je me réveillais, j'avais décidé de ne plus pleurer pour ou à cause de Jacob Black. Cela faisait trop de peine à Edward. J'étais aussi déterminée à me marier. Alors, nous allâmes voir Alice. Elle était bien entendu au courant. Elle n'avait que jusqu'au treize août, un mois avant mon anniversaire, j'avais un droit de veto sur la liste des invités et si elle dépassait les bornes, je ne lui parlerai plus jamais. Elle fut ravie et tint à me montrer immédiatement ma robe. Je me demandais bien quand est-ce qu'elle avait pu se la procurer. Cependant, elle était magnifique. Je demandais alors à voir la sienne, lui annonçant par la même qu'elle serait ma demoiselle d'honneur. Elle fut enchantée et me congédia, ayant des tas de choses à faire. Je retournais auprès d'Edward. Après tout cela, sa requête ne me paraissait plus ridicule. Bien qu'il essayât de me faire changer d'avis, je refusais. Je voulais faire les choses dans l'ordre. Son âme avait trop d'importance à mes yeux pour que je puisse ne serait-ce que songer à la mettre en péril.
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyJeu 12 Fév - 1:05

Révélation


Lune de miel


Voilà. J'étais fiancée, avec tout ce que cela impliquait. J'avais notamment été obligée d'accepter qu'Edward m'offre une voiture. J'appris très tôt qu'elle n'était pas encore commercialisée et qu'elle serait capable de résister à des missiles. Ben voyons ! J'aurais du m'en douter !
Pour ce qui était des préparatifs du mariage, les choses se passèrent bizarrement. Contrairement à ce à quoi je m'étais attendu, la nouvelle ne fâcha pas vraiment Charlie et Renée savait avant que je l'appelle que cela allait arriver. Finalement, les choses furent plus aisées que ne me l'avait laissé croire mes appréhensions. La seule ombre au tableau était le silence de mon garçon d'honneur. Il avait en effet décidé de s'en aller. Seth me donnait de ses nouvelles lorsqu'il en avait. En tout cas, il n'avait nullement l'intention de revenir. Le jour de mon mariage arriva. Alice passa la journée à me pouponner. Ma robe était magnifique mais je ne vis pas le rendu sur moi. Je ne le voulais pas. Je faillis flancher avant de descendre les marches. Par bonheur, je parvins à me concentrer sur Edward. Alors tout se passa bien. Lorsque le pasteur nous déclara mari et femme, je réalisai combien ce jour était merveilleux. Edward était mien. Pour toujours. J'étais sa femme. Isabella Marie Swan Cullen. J'étais la nouvelle madame Cullen. Cela me rendit folle de joie. Les embrassades passées, nous dansâmes. Edward me força à me regarder dans le reflet d'une des nombreuses vitres. Je me faisais l'impression d'une étrangère. Alice avait fait un sacré travail ! Cependant, mon bonheur ne fut total que lorsque mon meilleur ami arriva. Il tenait absolument à être là je jour de mon mariage. J'étais comblée. Je lui expliquais qu'Edward et moi partirions en lune de miel après la fête. Il se moqua de moi. Comme si je pouvais avoir une véritable lune de miel. Je rétorquais, irritée, que cela ne le regardait en rien. Avec ces quelques mots, j'avais tout gâché. Jacob s'étrangla et ses amis durent s'interposer pour ne pas qu'il se transforme. Il était furieux. Et inquiet. Pour lui, tout cela n'était que folie. Alors qu'il s'éloignait avec Sam, je me mis à pleurer. J'avais pourtant promis de ne plus pleurer ni pour lui ni à cause de lui !
Lorsque je me rendis compte que j'allais abimer le maquillage d'Alice, je me ressaisis et regagnais la piste de danse avec mon époux. Emett aussi dansa avec moi. Et Charlie. Et à vrai dire, je ne me souviens plus vraiment de qui valsa avec moi ce jour-là. Alice vint interrompre la soirée pour m'annoncer que je devais aller me changer si nous ne voulions pas rater l'avion. Le lieu de notre lune de miel était resté secret. Pour moi du moins. Alice m'aida à me changer. Ma valise, faite par ses soins évidemment, avait déjà été chargée. Nous filâmes alors sous une pluie de grain de riz dont je pouvais aisément identifier ceux lancés par mes frères pour leur précision assassine. Nous prîmes deux avions puis un bateau.
Ce fut au beau milieu de la nuit qu'apparut l'île d'Esmée. Carlisle la lui avait offerte et elle avait accepté de nous la prêter à Edward et moi. Quand nous arrivâmes, Edward me laissa quelques minutes d'humanité. J'en profitais pour ramener mon esprit sur terre. Lorsque j'eus fini, je le rejoignis dans l'eau, me blottissant contre lui. Il nous entraîna alors vers les profondeurs...
Lorsque je me réveillais, j'étais parfaitement heureuse. Tout était parfait. La nuit avait été délicieuse. En somme, j'étais comblée. Il n'en allait pas de même pour Edward. Lui était furieux pour une raison que j'ignorais. Il s'en voulait d'une chose que je ne comprenais pas. Agacé, il finit par m'ordonner d'aller me voir dans la glace. Ce furent les plumes qui me marquèrent. Edward me montra alors un de mes bras. Sous le duvet blanc s'épanouissaient d'énormes bleus. C'était pour cela qu'il était furieux. Je parvins à le convaincre de cesser de se flageller parce qu'il gâtait mon bonheur. Il m'écouta. Cependant, il passa le reste du temps à me fuir. À partir de ce moment-là, nous passâmes nos journées à crapahuter dans l'eau et dans les alentours. Il ne s'agissait ni plus ni moins de me fatiguer à tel point que je ne risque pas de lui demander quelques câlins. Cela fonctionna.
C'est alors que les cauchemars arrivèrent, se mêlant aux rêves doux et colorés d'Edward. Un soir, je rêvais que ma lune de miel continuait. Lorsque je me réveillais, je me mis à pleurer et finis par supplier Edward de transposer mon rêve en réalité. Il céda. Le lendemain, aucun nouveau bleu ne zébrait ma peau. La tête de lit d'Esmée cependant avait souffert. J'engloutissais des tonnes d'œufs. Cet endroit semblait dérégler mon appétit.

Surprise


Notre séjour continuait. Edward et moi profitions de notre intimité plus que de raison. Un matin, je me sentis malade. Je mis cela sur le compte du poulet que je n'avais pas du tout aimé la veille. Je rendis le contenu de mon estomac plusieurs fois avant d'aller fouiller dans ma valise à la recherche d'un cachet contre la nausée. J'y trouvais une boite de tampons qui me rappela un détail assez important. Je me regardais alors dans la glace. Ce fut un véritable choc. Edward ne comprit pas. Tous les signes étaient là. Les cauchemars, la nausée, le bedon... C'était impossible... Et pourtant... Affolé, Edward contacta Carlisle. Quand il revint vers moi, il essaya de me rassurer, me disant que Carlisle m'en débarrasserait rapidement. Lorsqu'il s'éloigna pour préparer notre départ, je me saisis d'un portable et appelai Rosalie. Aussi étrange que cela puisse paraître, elle était la seule vers qui je pouvais me retourner. Elle me défendrait. Edward prit mon silence pour de l'angoisse sur le chemin du retour. Cependant, il se douta de quelque chose lorsque je me jetai dans les bras de Rosalie à l'aéroport. Je ne voulais pas que l'on tue mon bébé ! Rose étant la seule à avoir toujours désiré un enfant, elle accepterait sans doute de me protéger, de protéger mon bébé.
Je passais tout mon temps chez les Cullen. Nous fîmes croire à Charlie que j'avais attrapé une maladie tropicale contagieuse. Je restais allongée toute la journée. Le bébé me fatiguait énormément. De plus, je ne pouvais ingurgiter quoique ce soit. Rosalie passait tout son temps près de moi, avec Edward. Je lisais sur le visage de ce dernier une douleur indicible. Pourtant, l'idée que l'on m'arrache mon bébé me répugnait. C'était impensable. En bougeant, le bébé me faisait mal. J'endurais pourtant la souffrance. Carlisle tenta de me nourrir par perfusion. Cela ne fonctionna pas. Ce fut alors que Jacob débarqua. Il me proposa, sous la supposition d'Edward, d'être le père de mon enfant puisque je semblait tellement en vouloir un. Évidemment, je refusais. Ce n'était pas n'importe quel enfant. C'était l'enfant d'Edward. C'était mon enfant. C'était notre enfant. Alors qu'il paraissait souffrir de me voir dans un tel état, Jacob resta aussi longtemps que possible. Il eut même l'idée qui nous sauva la vie au bébé et à moi. Le bébé semblait tenir plus d'Edward que de moi. Il avait peut-être soif tout simplement. Dès qu'il eut cette idée, j'allais mieux. Je pus enfin manger quelque chose.
Ma grossesse se passa en un éclair. Un seul mois suffit avant que Renesmée ne désire sortir de mon sein. Par bonheur, je m'évanouis très tôt, ce qui m'évita une souffrance à laquelle Edward et Jacob assistèrent.
Renesmée naquit en bonne santé. Elle me mordit gentiment dès sa naissance. Ensuite, ce fut le vide...

Renaissance


La douleur fut atroce. J'eus la sensation de brûler vive sans pour autant mourir. Je voulais hurler mais la morphine m'empêchait de bouger. J'aurais voulu crier pour qu'il m'achèvent. Cela finit pourtant par passer. Le feu se calma, se cantonnant aux alentours de mon cœur. Je ne bougeais pas. La morphine n'agissait plus et j'avais conscience du monde qui m'entourait. Si je bougeais, j'avais peur que ma résolution ne flanche. J'avais peur de me mettre à hurler tant j'aurais mal. Je ne voulais pas blesser Edward. C'était totalement exclu. Tant que le feu brûlerait en moi, je ne bougerais pas d'un pouce malgré mon envie de le consoler. Petit à petit, les flammes se cantonnèrent à mon cœur. Soudainement, mon dos s'arqua alors que la douleur gagnait en intensité. Lorsque je retombais sur la table, le feu se battait contre mon cœur. Finalement, le feu s'éteignit et mon cœur cessa de battre. La souffrance avait disparu. J'ouvris alors mes nouveaux yeux sur le monde.
C'était proprement déroutant. J'entendais tout à des kilomètres à la ronde et je voyais des choses que jamais je n'aurais imaginées. Même les traits d'Edward me parurent étrangers. Ils étaient encore plus beaux que ce que j'en avais vu étant humaine. Je percevais les odeurs plus clairement aussi. Je ressentais toujours ce désir pour lui que je pensais ne plus pouvoir sentir avant au moins une année. Je me jetai à son cou, lui arrachant un gémissement de douleur. Mes premiers mots s'adressèrent à lui. « Je t'aime ». La voix qui s'échappa de ma gorge était celle d'une étrangère. C'était assez déroutant. Comme tout le reste après tout. Lorsqu'Alice me montra mon reflet dans le miroir, je ne me reconnu pas. Le plus choquant était mon regard. Il avait cette couleur pourpre propre aux vampires 'normaux'. Les Cullen me rassurèrent. Le sang animal diluait en quelques mois le rouge. D'ici peu, j'aurais les même yeux qu'Edward. J'interrogeais ma nouvelle famille sur mon bébé. Je souhaitais la voir. Pourtant, on m'en empêcha. Je compris rapidement les raisons de cet éloignement. Son cœur battait, du sang coulait dans ses veines. Ils devaient avoir peur que je n'ai soif de Renesmée... C'était légitime.
Edward et moi partîmes donc chasser. Alice m'avait affublée d'une robe qui ne résista ni à mon premier bond, ni au puma sur lequel je m'acharnais. Je faillis suivre la trace d'un humain. Cependant, me sentant suivie, je me retournais et grognait sur Edward. Je fus profondément choquée. Suffisamment en tout cas pour pouvoir m'échapper de l'odeur hypnotisante. Cela impressionna toute ma famille. Jasper se sentit d'ailleurs mal. J'étais pressée de voir Renesmée. Pourtant, Jacob voulut m'en empêcher en quelque sorte. Il s'agissait d'une espèce d'épreuve afin de voir si je serai capable de me retenir à l'appel du sang. Ce qui m'embêta plus, c'était le secret que partageaient Edward et l'indien. Le premier espérait que je serais tellement furieuse que je lui arracherais la tête. Avant de humer Jacob, je demandais à Edward de me retenir. Évidemment, cela n'aurait pas été nécessaire. Jacob puait vraiment. C'était une horreur. Edward me lâcha, je m'inquiétai de nouveau du secret. Pourtant, Renesmée reprit rapidement la première place dans mon esprit. Malgré les réticences de Jacob, je me dirigeais vers ma fille. Tous étaient là au cas où je flancherais. Jacob se montrait beaucoup plus prudents que les autres. Il m'agaçait. Finalement, je pus prendre ma fille, impatiente de me rencontrer, dans mes bras. Elle était étrangement grande. Elle toucha mon visage et j'y vis le seul souvenir qu'elle avait de moi. Lorsqu'elle était sortie de mon ventre. Je profitais de mon enfant, la plus belle créature au monde. Elle avait mes yeux et le visage d'Edward. Elle était magnifique.
C'est alors que Jacob eut le malheur de vouloir m'enlever ma fille des bras. Je me fâchais, Edward me soutenait tout comme Rosalie. Ce fichu secret m'apparut lorsque je vis le regard que portait Jacob sur ma fille. Mon enfant... Non ! J'avais compris. J'ordonnais à Rose de reprendre Renesmée au loup. Elle obéit immédiatement. Edward attrapa mes bras et les cala dans mon dos. Je lui ordonnai de me lâcher, ne voulant pas le blesser. Comme il n'obtempérait pas, je lui proposais d'aller protéger Renesmée. Cette fois-ci, il s'exécuta. J'étais proprement furieuse. J'avançais vers le clébard, l'enguirlandant. C'était MON bébé ! Comment avait-il osé ? Il se défendit, prétendant n'avoir aucun contrôle la-dessus, que c'était ma fille qui nous reliait depuis le départ. Cela ne me satisfis pas. Je grognai et conseillais à Jacob de courir tant qu'il le pouvait. Il ne le fit pas, m'annonçant que 'Nessie' l'aimait bien. Je me figeai immédiatement. Rageuse, je lui demandais comment il avait appelé ma fille. Comme il se débattait avec ses mots, je me jetai à sa gorge. Comment avait-il osé surnommer MA fille comme le monstre du Loch Ness ?
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MessageSujet: Re: Isabella Marie Swan Cullen   Isabella Marie Swan Cullen EmptyJeu 12 Fév - 1:06

Inquiétudes


Seth s'était interposé entre Jacob et moi. Je lui avais déboîté l'épaule et je m'en voulais. Lui m'avait bien vite pardonné. Quant à Jacob, je n'étais plus ou presque furieuse. Toute mère pourra comprendre ma réaction. Pourtant, je m'en voulais énormément. Enfin cette sensation disparut rapidement alors qu'une angoisse prenait place. Renesmée grandissait à une vitesse impressionnante. Même si sa croissance semblait ralentir, nous ignorions tout de ce qu'elle deviendrait. Elle était à moitié humaine... Qui pouvait nous assurer qu'elle ne disparaitrait pas d'ici quelques années ? Était-elle immortelle ? Ou alors était-elle humaine sur ce point là ? Tout n'était qu'incertitudes qu'Edward et moi partagions avec angoisse. Nous avions prévu un voyage afin de trouver des informations sur d'éventuelles créatures similaires à Renesmée.
Un ennui n'arrivant jamais seul, Jacob fit quelque chose pour laquelle j'aurais voulu le tuer. Lorsqu'Edward, Renesmée et moi rentrâmes du cottage (offert par ma famille pour mon anniversaire) chez les Cullen, le loup arriva, remuant presque la queue. Il avait montré à Charlie qu'il pouvait se changer en loup à volonté. Cela partait certes d'une bonne intention, mais je n'étais qu'un nouveau-né ! Tout le monde fut furieux. Tout le monde à part moi. Moi j'étais sidérée qu'il eut osé exposer Charlie à une telle menace... Car c'était ce que j'étais. Une menace. À ce moment-là, je ne parvenais pas à voir les avantages d'une telle visite. Cela allait être une épreuve... Et si je ne me retenais pas ? Forte du contact de Renesmée, je parvins à tenir le coup. Emett ne put s'empêcher de faire des allusions sexuelles auxquelles mon père ne comprenait rien. J'étais furieuse. Lorsque Charlie partit, heureux de m'avoir revue malgré le secret 'trop lourd pour lui', Edward me rappela une promesse que je lui avais faite étant encore humaine. Ce fut ainsi que je me retrouvais à défier Emett au bras de fer sur un rocher de bonne taille. Si je gagnais, il ne ferait plus jamais la moindre allusion à ma vie sexuelle. Si je perdais, ce serait encore pire. Heureusement, je gagnais. Assez facilement d'ailleurs. Trop facilement. Emett était furieux. J'étais euphorique.
Renesmée continuait à grandir et mes angoisses avec elle. Jacob était un véritable grand frère pour elle. Nous allions souvent chasser tous trois. Un de ces jours-là, je vis au loin une chevelure blonde. Celle-ci me lança un regard triste avant de hurler de douleur et de fuir. C'était Irina... Choquée, j'ordonnai à Jacob et Renesmée de rentrer. Nous nous exécutâmes. Dès que nous arrivâmes, j'expliquais à Carlisle et Edward ce qu'il s'était passé. Nous crûmes au départ que le fait de voir Jacob, un des loups qui avaient tué Laurent, son compagnon, l'avait rendue folle de chagrin. Malheureusement, il n'en était pas ainsi. Renesmée... C'était Renesmée qui l'avait bouleversée ! Carlisle m'avait appris que les sœurs de Tanya étaient très respectueuses des lois parce qu'elle avaient perdu leur mère. Cette dernière avait crée un enfant immortel, créature pourtant interdite. Incontrôlable, ils restaient bloqués dans leur caractère d'enfant jusqu'à leur mort. Les Volturi avaient prohibé ce genre de pratique... De loin, Irina n'avait pas entendu le cœur de Renesmée ! Elle pensait qu'il s'agissait d'un enfant immortel ! Je fis part à ma famille de ce que j'avais compris, semant l'horreur parmi les vampires et loups présents. Alice garda l'œil sur Irina, guettant la décision des Volturi. Ce fut lorsque nous nous y attendîmes le moins que la vision tant attendue arriva. Alice en lâcha le vase qu'elle tenait dans ses mains...

L'union fait la force


Parce qu'Alice ne faisait jamais rien tomber, nous nous retournâmes tous vers elle, choqués. Elle ne nous raconta pas ce qu'elle avait vu. Elle nous dit simplement que les Volturi allaient se déplacer eux-mêmes avec leurs épouses pour traiter cette affaire. Ils seraient là dès que la neige tiendrait. Elle nous ordonna alors d'aller chercher tous les vampires que nous connaissions. Nous aurions besoin de témoins. Puis elle se sauva avec Jasper en promettant de nous envoyer Peter et Charlotte en chemin. Nous tentâmes de la suivre. En chemin, Sam nous trouva et nous donna un mot de la main d'Alice. Elle nous abandonnait. C'était du moins ce qu'il semblait. Avait-elle entrevu sa fin ou celle de Jasper ? La feuille avait été arrachée à un de mes livres. Je retournai au cottage sans Edward et trouvai le livre en question. Une adresse y figurait avec pour consigne de brûler le livre. J'obéis.
Nous restâmes dans l'incertitude pendant un certain temps avant de nous ressaisir. Nous allions obéir à Alice et rassembler le plus de vampires possible. Carlisle contacta Tanya et son clan qui promirent de venir au plus vite. Edward, Renesmée, Jacob et moi resterions ici pour présenter notre enfant à nos témoins. Pendant ce temps, les autres iraient chercher nos amis et nous les enverraient. Si nos amis se montraient outrés au départ, ils étaient vite convaincus par les visions que leur offrait Renesmée. Tous tombèrent amoureux d'elle. Le chef du clan des égyptiens se fit beaucoup plus réticent. Pour autant, tous acceptèrent de témoigner. La plupart prévirent également de se battre s'il le fallait. Cette idée m'effraya tant j'étais inutile.
J'appris au contact d'Eleazar que j'avais un don. J'étais ce qu'il appelait un bouclier. Kate voulut m'entraîner à étendre mon bouclier. Elle se servit d'Edward, lui lançant des décharges paralysantes alors que je tentais de le protéger. Au bout d'un moment, elle dut en avoir marre de martyriser Edward, ou peut-être avoir une envie de suicide, car elle appela Renesmée pour qu'elle vienne « m'aider ». Je la saisis dans mes bras et refusai catégoriquement qu'elle m'aidât. Furieuse, je mis Renesmée sur mon dos. Kate s'approchait dangereusement, paume en avant. Alors elle regarda Edward. Celui-ci n'entendait plus les pensées de Renesmée. J'avais réussi ! Malgré tout, il me fallut un temps pour me calmer. J'avais envie de lui arracher la tête... Comment avait-elle ne serait-ce que songé à prendre mon enfant pour cible ?
En fin de compte, je parvins à étendre mon bouclier à tous ceux qui assistaient à mes entraînements. Ce fut un soulagement en quelque sorte pour moi car je me sentis utile. Quelques jours avant Noël; je conduis Jacob et Renesmée chez Charlie. Je prétendis faire des achats de dernière minute et me rendis chez J. Jenks, à l'adresse indiquée par Alice. Je tombais sur un homme qui m'apprit ce que je devais savoir avant d'aller voir Jenks. L'avocat avait visiblement affaire à un Jasper que je ne connaissais pas. Je demandais à l'homme de faire de faux papiers pour Renesmée et Jacob. Si nous devions nous battre, je voudrais que Jacob fuit avec ma fille. Il saurait prendre soin d'elle... j'avais à peine les faux papiers que l'échéance s'approchait gravement. Nous mîmes en place notre défense, tant bien que mal. Les Volturi ne se déplaçaient que pour les expéditions punitives. Il fallait absolument que nous ayons le temps de leur expliquer. Il fallait qu'elle puisse leur montrer !

Expédition solennelle


Lorsque la neige commença à tenir, nous nous rendîmes sur les lieux qu'Alice nous avait indiqués avant de partir. Tous étions sur les nerfs. La tension en était palpable. Je me demandais si j'arriverai à projeter mon bouclier sur tout le monde et me préparais à l'éventualité de de voir me battre seule puisque j'étais la seule à résister à leurs talents. Je confiais à ma fille un sac à dos dans lequel je glissais les papiers ainsi que la destination de mes protégés. Je demandais aussi à ma fille de s'en aller lorsque je le lui dirais. Elle accepta, larmes aux yeux. Son collier autour du cou, elle allait supporter sur ses frêles épaules une bataille bien trop grande.
Les Volturi arrivèrent en grande pompe. Une lignée de manteaux sombres approchaient suivie de témoins. Selon Edward, les Volturi appréciaient d'avoir des témoins pour ce genre d'expédition. Ils étaient en sous-effectif, ne comptant ni sur les témoins ni sur leurs femmes. La puissance de mon bouclier les déstabilisa. Ils étaient venus détruire la famille Cullen et emprunter quelques uns des membres. Ils s'aperçurent rapidement qu'ils n'avaient aucune raison de poursuivre leur punition puisque Renesmée n'était pas un enfant immortel. Vampires et loups étaient là pour en témoigner. Aro semblait résigné. Il trouvait ma fille fabuleuse. Cependant, Caïus avait l'air décidé à nous détruire. Lorsqu'il n'eut plus de recours contre mon bébé, il s'arrêta aux Quileute, prétendant que nous nous étions allié avec nos pires ennemis. Edward nous apprit alors à tous que les Quileute étaient des modificateurs et non pas des loups garous, ceux-ci ne pouvant se transformer que de nuit. Le fait qu'ils soient des loups était pure coïncidence. Ils auraient très bien pu être des moineaux. Une fois de plus, l'herbe fut coupée sous le pied de Caïus. Alors ce dernier amena sa colère sur Irina. Celle-ci accepta son erreur. Lorsque Caïus parla de Laurent et du fait que nous l'avions empêchée de se venger, ce fut pour qu'Irina dépose une plainte officielle contre ma famille. Celle-ci n'en fit rien, assumant son erreur. Contrarié, Caïus fit exécuter Irina. Il fallut s'y mettre à plusieurs pour empêcher Kate et Tanya de faire ce que souhaitaient les Volturi. Elles se calmèrent. Alors Aro interrogea quelques uns de nos témoins. Parmi eux, Amun et Siobhan. Le premier s'en alla cela dit. Quand à la seconde, elle resta avec nous. Lorsqu'Aro se réunit avec ses frères, je me penchais vers ma fille, lui rappelant ce que je lui avais dit sous la tente. Je la serrais contre elle, Edward aussi. J'indiquais à Jacob qu'il faudrait qu'il attende que les Volturi soient distraits pour fuir avec Renesmée. Il pleura et enfouit sa tête dans mon épaule. Une véritable scène d'adieux se tenait alors que les capuchons noirs discutaient de la meilleure façon de nous détruire.
Avant que la décision ne soit prononcée, Jane tenta d'attaquer certains d'enter nous. Elle n'y parvint pas, ce qui impressionna tout le monde. Ce fut pareil pour Alec et tous les autres. J'étais partout. Aro quitta enfin le cercle, nous annonçant qu'ils allaient voter. Il tenta de nous recruter. Nous rejetâmes l'offre par des rires sans joie. Le vote commença. Caïus était bien évidemment contre nous. Marcus, estimait que nous n'étions pas un danger. Alors qu'Aro allait nous faire part de sa décision et que nous désespérions d'une fin heureuse, Edward sourit et interpella le vieux vampire. Selon celui-ci, le danger qu'il craignait ne reposait que sur l'incertitude de ce qu'allait devenir notre enfant. S'il pouvait être totalement sûr qu'elle ne serait pas un danger pour notre espèce, il nous laisserait partir en paix. J'ignorais ce qu'Edward avait derrière la tête lorsqu'il annonça à Aro que Renesmée était rare mais pas unique. Il annonça alors l'arrivée d'Alice. Nous fûmes tous agréablement surpris. Immédiatement, je m'en voulus d'avoir ne serait-ce qu'oser supposer qu'elle nous avait abandonné. Elle nous avait ramené Nahuel, un enfant mi-mortel mi-immortel, tout comme ma fille bien-aimée. Face à cela, les Volturi ne purent plus rien faire. Nahuel avait été élevé par sa tante. Lui était venimeux, contrairement à Renesmée. Il avait également trois sœurs. Ces paroles eurent pour effet d'apaiser l'humeur belliqueuse d'Aro. Il prit alors la décision la plus sage qui soit : nous laisser tranquille. La troupe s'en alla alors, sous les excuses d'Aro qui souhaitait pour autant conserver l'amitié de Carlisle.
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Continuation


Grâce à Alice, nous apprîmes que Renesmée n'était pas unique. Elle grandirait vite, mais ne mourrait pas pour autant plus tôt. Elle vivrait aussi longtemps que nous, sinon plus. Nous appréciâmes le retour à la vie dite normale après ces évènements angoissants. Les invités ne tardèrent pas à s'en aller. Nahuel passait le plus clair de son temps à m'observer. Selon Edward, j'étais la mère qu'il n'avait pas eu et qu'il aurait voulu avoir. Il était intrigué et envieux à la fois. Une chose était certaine, il ferait de la concurrence à Jacob dans le cœur de Renesmée. Après tout, elle était la seule de son espèce à ne pas partager son sang !
Lorsque le calme fut entièrement revenu sur Forks, Edward, Renesmée et moi réinvestîmes le cottage. Un soir, je décidais de faire un cadeau à Edward. Je m'étais exercée avec Zafrina à m'extraire de mon bouclier. Je montrais alors à Edward, en me concentrant, quelques souvenirs. Les meilleurs. Notre première rencontre, notre premier baiser, le mariage, … Nous finîmes par profiter de notre éternité... Tout était bien qui finissait bien. Nous avions la paix des Volturi et je n'étais pas suffisamment assoiffée de sang pour ne plus désirer mon époux. Qui plus est, j'aurais ma fille avec moi pour l'éternité.
Cependant, Alice, qui gardait un œil sur les Volturi au cas où ils trouveraient une nouvelle raison de venir nous importuner vit leur destin disparaître. Elle nous fit part de ses craintes avant de se rendre sur les lieux accompagnée de Jasper. Nous l'avions laissée partir parce qu'elle nous avait assuré ne rien risquer. Lorsqu'elle revint, tout avait changé. Les Volturi avait tout bonnement disparu. Elle avait vu là-bas des traces de combats mais aucun signe de vie. Jasper et elle avaient flairé une odeur particulièrement appétissante mais inhumaine. Alice partagea avec nous tout ce qu'elle savait et tout ce qu'elle pouvait deviner de l'avenir. De fil en aiguille et après de nombreuses recherches, nous en arrivâmes à une sinistre conclusion... Les chasseurs de vampires n'étaient pas seulement des mythes...
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